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| TRI-JJ 68 est une planète sur laquelle Sillage ne s'est pas attardé. Mais quand le convoi repasse près de ce monde, tout a changé : en un temps record, une civilisation industrielle est apparue ! De quoi intriguer Sillage et Nävis, car les habitants de TRI-JJ 68 ressemblent étrangement à la race dont elle pensait être la seule représentante : les humains. |
  Joky
| Attention: avec cet opus de Sillage, on passe un cran au dessus. A croire que chaque tome de cette série est meilleur que le précédent. Tout y est: un graphisme magnifique, des couleurs parfaites (on retourne enfin sur une planète) et un scénario qui allie critique de la societé (comme d'habitude avec Sillage), sentiments exacerbés de Navis (nostalgie, découragement, passion, tristesse, résignation etc ... On pourrait en parler des heures), action, suspens et retournements divers. Le meilleur est pour la fin... Une leçon de morale qui fait TILT et que l'on pourrait résumer par ce proverbe: "l'enfer est pavé de bonnes intentions".
En prime, des Puntas qui ressemblent à un troupeau de Yoda: j'adore :o))
Pour moi, le meilleur de la série. |
bourle
| Navis est maintenant devenue un agent spécial de Sillage, elle a déjà effectué diverses missions pour la sécurité du convoi spatial. A peine en vacances, on la rappelle pour une nouvelle mission. Elle doit partir sur une planète, cette mission est si je puis dire assez particulière car les êtres y habitant ressemblent étrangement à des êtres humains. L’évolution de l’espèce des puntas est incompréhensible selon Sillage… trop rapide. Navis est donc envoyé sur « Tri jj 68 » en pleine ère industrielle. Dictature, terrorisme, hiérarchie, révolution, vaccin inconnu, chantier caché, toute une société est basée sur un terrible secret. Et oui, je sais on en baverait presque.
Morvan nous ouvre les portes d’une nouvelle société. Ce scénario est décidemment le meilleur depuis le commencement de la série. Aucun passage à vide, il se passe tout le temps quelque chose, chaque personnage à un tempérament bien défini par Morvan.
Buchet nous montre une nouvelle fois son talent de dessinateur. On remarque particulièrement dans ce tome qu’il est très doué pour le paysage. La ville de cette nouvelle civilisation est comme réelle, on s’y croirait. Puisque, ces êtres ressemblent aux humains, les bâtisses et maisons aussi, les véhicules sont d’un réalisme qui peut ne faire que des envieux.
Ce tome est meilleur que le précédent que ce soit concernant le scénario qui est vraiment excellent, mais aussi grâce à de magnifiques dessins.
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