La première, l'espace, est une petite merveille de science fiction. A l'image de 24, la série, Tezuka utilise les plans en plusieurs écrans pour nous montrer l'action ou les propos des différents protagonistes à un même moment. Il tente d'autres découpages tout aussi pertinents, au service d'une narration comme toujours limpide et délectable. Un niveau visage du Phénix.
La seconde, la vie, est d'une actualité surprenante. Un jeune loup de la télé décide pour faire péter l'audimat de créer des clones humains qui serviront de gibier pour une chasse à l'homme télévisée. Sa rencontre avec le Phénix changera inévitablement sa vie et même sa conception des choses.
Le tortionnaire devenant victime, cela n'est certes pas nouveau. Mais quand Tezuka s'y colle, on ne peut pas vraiment passer à côté.