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| Tenma s'est procuré une carabine de haute précision et suit de très près tous les fatis et gests de Johann.
Un jour, il apprend que Johann doit assister à la présentation de la collection d'ouvrages de Schuwald à la bibliothèque de munich. Il prend alors la décision de tirer sur Johann lors de la cérémonie. |
  pikipu
| Retour de Nina. Inattendu. Inapproprié. Mais elle reste toujours aussi jolie. Alors le plaisir est là.
Tenma sait enfin où se cache son gibier. Il l'épie. L'observe. Comme une proie. Va-t'il réussir à le chasser. Ne risque-t'il pas de devenir un monstre lui aussi? Doit-il se sacrifier pour obtenir la rédemption d'une erreur commise par le passé? Une erreur a posteriori.
A voir sa mine défraichie - mazette, que le dessin d'Urasawa est précis!- il paraît tiraillé et ne doit pas dormir beaucoup, ni manger non plus. Tenma n'a jamais été aussi seul. Vit-il encore réellement?
Sa potentielle victime semble tisser les derniers les fils d'une toile dont nous ne saisissons pas encore les limites. Johann semble être aussi rattrapé par son propre passé (superbe scène dans la bibliothèque). Le monstre serait-il vulnérable?
Beaucoup de doutes. Beaucoup de questions. Je ne cesse de le répéter mais ce Monster a quelque chose d'enivrant, d'envoutant.
Et l'on se plaît à retrouver Runge. Et notre ami Robert aussi. Ce cher Robert.
Dont on sait grâce à ce huitième volet qu'il n'a pas que la tête de grosse.
Un grand merci à Hindenburg la rouge pour cette indispensable information. Et paix à son âme.
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bourle
| Tenma est décidé, maintenant que Johann est à la lumière, il va pouvoir accomplir son œuvre, mais Runge plus près que jamais de mettre la main sur celui-ci rode. Lotte abandonnée par Karl trouvera réconfort auprès d’une étudiante qui s’intéresse de près aux différents meurtres entourant Shuwald. Dieter se fera conter une histoire : des enfants meurent les uns après les autres en tombant des toits. Accidents ?Meurtres ?Suicides ?
Ce tome est tout simplement génial comme je m’y attendais, bien qu’il m’ait surprit par son contenu. Urasawa a fait ici un véritable chef d’œuvre, il met en parallèle la vie de tous les protagonistes et pourtant on ne s’y perd pas. Chacune de ces histoires a son lot d’intrigues et on observe que chacun des personnages cherche les autres et tous son proche de leur but respectifs. Cet opus est plein de dynamisme, il y a de la consistance et pourtant l’action n’y est pas, tout est dans la psychologie et Urasawa montre la personnalité de chacun divinement bien.
Urasawa est un excellent scénariste et je n’ai que rarement mis en avant son talent de dessinateur. J’aimerai pointer du doigt quelques choses qui m’a marqué : le regard de Martin, je le retrouve fantastique, une telle folie, toutes les émotions de ce gamin se comprend à travers son regard, magnifique…
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