Je pense que cela motive un arrêt au stand. À bientôt !
you're welcome ; par ailleurs, au stand d'en face (chez Adverse), vous pourrez trouver également "De ce trou noir duquel naquit Chris Ware", un petit essai épistémologique sur l'histoire de notre discipline.
Au FiBD, au stand Pré Carré (avec les belles expérimentations du camarade Loïc Largier), on vous fait découvrir la réédition, après une dizaine d'années d'indisponibilité, de "Farnesina". Au départ publié en sérigraphie par "La presse purée", il est aujourd'hui produit dans une belle bichro riso, cousu à la main comme il se doit.
On a aussi tiré un nouvelle livre sérigraphié, "Luc peignant", variation sue le portraitiste officiel de la Vierge, dit-on. Le beau R.I.P. de François Henninger est également à nouveau disponible ainsi que le bestion sérigraphié des éditions du Parasite.
Je pense que cela motive un arrêt au stand. À bientôt !
Au FiBD, au stand Pré Carré (avec les belles expérimentations du camarade Loïc Largier), on vous fait découvrir la réédition, après une dizaine d'années d'indisponibilité, de "Farnesina". Au départ publié en sérigraphie par "La presse purée", il est aujourd'hui produit dans une belle bichro riso, cousu à la main comme il se doit.
On a aussi tiré un nouvelle livre sérigraphié, "Luc peignant", variation sue le portraitiste officiel de la Vierge, dit-on. Le beau R.I.P. de François Henninger est également à nouveau disponible ainsi que le bestion sérigraphié des éditions du Parasite.
Bon, le titre n'est pas encore entré dans la base mais je n'ai pas la patience d'attendre. Vous avez déjà cette fort appréciable vidéo pour vous montrer un peu de quoi il retourne : La belle vidéo que voici
La Chauve-Souris de Ph. Leroux, c'est un art unique du Trait-Parole, que l'on prenne le tiret comme une jonction un peu chimique ou comme deux éléments indispensables mais que l'on peut très bien dissocier (si l'on considère par exemple qu'une BD puisse "parler" de quelque chose, ce qui n'est pas tout le temps absurde).
Je trouve que cette façon de manier le Trait et la Parole, ce fut celle qui a pu se déployer dans une certaine presse de la grande époque que je ne vous ferais pas l'affront de citer. Allez, si, quand même. On aurait bien vu Leroux dans Charlie Mensuel, ça oui, ou dans d'autres titres plus obscurs ou plus éphémères, qu'importe (ce "qu'importe" est historiquement daté, car il est entendu que maintenant il en est fini de cette presse BD de qualité à grande échelle pouvant accueillir dans ses pages les mêmes noms que le petit machin bricolé tiré à 200).
Il y a donc le Trait et la Parole, chacun essentiel, exigeant chacun un regard neuf, dessillé, renversé. "De la poésie", quoi, comme on dit, mais cette fois-ci dans son sens rigoureux. C'était cela qui constituait une grande partie de la "BD adulte" à une époque.
Il y eut ensuite plusieurs tournants : le tournant épique régressif, le tournant "à contenu" (la BD qui va "raconter" tel truc, en mettant le Trait et la Parole au second plan, ne s'agissant plus tellement de "dire" ou de "parler" mais de "témoigner"), le tournant plastique auquel on assiste depuis quelques années (pour qu'une bonne BD indé ait l'air aboutie, mûre, il faut que son système plastique soit parfaitement balisable par tous les signaux de la "plasticité" ; il y a déjà la tendance historique de la "mode" qui pousse les dessins à tous se ressembler, mais il se rajoute désormais une exigence d'en mettre plein la vue niveau "art plastique" ; d'où le retour, sur lequel je n'aurais personnellement pas parié une seule seconde, de la couleur et même de la sur-couleur dans les productions perçues comme les plus audacieuses ou qui s'efforceront de l'être, à tort ou à raison).
Bon, hé bien Philippe Leroux va contre l'évolution, c'est souvent comme ça chez les plus grands, on ne sait pas de quelle époque il vient, et on s'en fiche, c'est du Trait et de la Parole comme personne d'autre que lui et sa Chauve-Souris ne savent nous en offrir. Merci.
mieux vaut tard que jamais,
voici enfin deux des entretiens manquant de notre gros travail
consacré à l'histoire technique du fanzinat, "Ars & Techné", ceux de Yannis La Macchia pour les éditions Hécatombe et de François De Jonge pour les éditions Superstructure.
On recevait hier soir l'orfèvre du fanzine, le messie de la micro édition, J.M. Bertoyas, pendant quelques heures douces et néanmoins revigorantes, et c'était évidemment icitte.
Première réalisation née des rencontres faites avec des auteurs et autrices
qui se sont rencontrés autour de la chaine Twitch "Bandes dessinées". De belles rencontres, de belles pages.
Eric Heilmann, bien connu du milieu underground des années 80/90, a décidé de construire une base de données du fanzinat de sa période de prédilection. C'est riche, plutôt complet, et c'est là : http://gravezone.fr/zone
j'ai remonté les deux segments du live, que des problèmes techniques nous avaient obligé à traiter en deux jours. et c'est là. Enjoy! (si vous voulez toutes les références des fanzines, les adresses des fanzinothèques, il vaut mieux regarder la video directement sur Youtube, parce que tout ça est dans la présentation de la vidéo)
pour découvrir nos dernières publications, l'expo de la fanzino et évidemment tout le reste, les lieux, les gens épatants rencontrés, les activités de la fanzino, les ateliers, les zines qu'on a ramenés, on a un rendez-vous :
Demain soir, vendredi 26 Aout, C. de Trogoff & moi-même faisons notre retour des Universités d'été de la Fanzino sur notre chaine witch, pour quelques heures de bavardages.
Y'aura un micro docu, des tas de fanzines à présenter et des tas de bonnes adresses à faire découvrir à nos viewers
C'est à 21H30, sur https://www.twitch.tv/bandes_dessinees
et évidemment, le tchat est ouvert à toutes vos remarques, conseils, adresses et questions !
on cause fanzinat, des années 80 à nos jours, avec Samuel Etienne, jeudi soir.
Si vous avez envie de le bombarder de questions, hé bien ce sera le moment
à jeudi, 21H sur https://www.twitch.tv/bandes_dessinees
un très beau premier livre par Maria José Suarez Sarrazin (que j'ai eu le plaisir de compter parmi mes élèves à Angoulême cette année), venue le réaliser chez nous, aux ateliers PCCBA.
oubliez pas de vous connecter, les petits lurkers qui me disent après "c'était chouette" sans jamais être comptés parce que non connectés ; ça nous fait plaisir de causer en sachant que vous êtes là (et plus encore quand vous participez, évidemment!)
je vous avais causé de la dernière production micro éditoriale de Florian Huet ("La poinçonneuse"), le très beau "Zoom aveugle". Hé bien il est enfin disponible ici : https://lapoinconneuse.com/?p=zoom.html&mc_cid=f9d16c744e
sinon, pour tous les oiseaux qui sont avides de découvrir ce genre de merveilles, n'oubliez pas que ce soir on se retrouve avec Maël Rannou sur https://www.twitch.tv/bandes_dessinees à 21h pour causer de plein de fanzines de toutes sortes (et parmi eux, par ailleurs, du très beau et tout frais "Inondation" de Maria José Suarez Sarrazin chez PCCBA)
je ne sais pas si on a causé un peu de ce fanzine, ici, mais je profite de la publication de quelques pages de Buster Brown (vues dans Déconfetti) dedans pour vous annoncer la sortie de son neuvième numéro, icitte.
Chaque année, les différentes promotions de l’École européenne supérieure de l’image d’Angoulême (ÉESI, les beaux-arts en fait) forment des groupes et sous-groupes plus ou moins soudés qui publient régulièrement des fanzines. On les trouve durant le festival dans le hall de l’école, à l’espace Magelis ou au spin-off.
Ce fanzine est réalisé, de mémoire par une promotion qui devait alors être en deuxième année. Et si les thèmes sont récurrents dans les zines, on a ici plutôt une sorte d’unité thématique qu’un thème absolu, les diverses violences sociales (rapports de classe, sexisme, répression…) traversent toutes les contributions. Une tonalité assez rare dans les fanzines étudiants qui visent souvent plus la prouesse graphique ou le jeu avec le code qu’un discours politique assumé, quoique rarement frontal.
Les récits sont extrêmement divers, allant de la BD franco-belge à gros nez à des propositions franchement expérimentales. Comme tout travail collectif, il est inégal, et pour avoir vu certains travaux des mêmes auteurs l’année suivante, beaucoup se sont encore améliorés. Mais dès 2019 plusieurs pages interpellent. On retient notamment un long récit autobiographique plein de saine colère d’Anouk Margot, refusant d’être une «?mignonne?» ou gentille fille sage et évoquant différents stéréotypes qui la poursuivent (de types très divers : «?l’hystérie?», le goût de la culture tout en ne voulant s’enfermer dans «?l’intello?», les normes de pilosités chez les femmes…). Bien plus courts sont les gags de Pierre Delwarte et Christopher Nadal, ou les doubles pages très plastiques, mais pertinentes, de Simon Ecary, Léo Martouzet.
Mais la pièce maitresse de ce fanzine est sans doute son texte d’ouverture, pas vraiment éditorial. «?Les Classes à l’école?», signé Ida Fermaud, s’intéresse aux élèves exclus de l’école. Or, elle semble toucher là un tabou : il n’y a pas d’exclus à l’école d’art, milieu s’affirmant bienveillant et ouvert. Des élèves s’en vont, construisent d’autres projets ou n’ont pas trouvé leur place oui. Dénonçant une hypocrisie latente l’autrice conteste surtout un rejet de certaines formes culturelles et un mépris d’élèves «?pas assez cultivé. e. s ou ouvert. e. s?», concluant sur une déception : «?là où j’espérais trouver un enseignement incluant toutes les formes d’art, je me rends compte qu’en faisant la promotion d’une culture plutôt qu’une autre, l’école participe à ce système injuste de la reproduction sociale.?» Le ton est amer, mais dénué de provocation, le constat exemplifié et sans nul doute mis entre les mains du corps professoral, puisqu’imprimé sur les presses de l’ÉESI. Cela a-t-il pu faire bouger quelques lignes, même petitement?? On ne le saura pas, il n’y a pas de suite à ce collectif, mais il garde trace d’un courage réel très rarement présent dans les fanzines d’écoles.
Voilà, gros coup de feu pour préparer toutes ces micro publications. Le dernier bulletin (Scrapbook) a été tiré à 28 exemplaires, et si certains d'entre vous, comme chaque année, en veulent tout de même, qu'ils m'écrivent en privé, parce que le fond part au festival en deux jours chaque année. C'est un monstre qui nous a tenus collés 20 jours à la planche, et dont la conception est assez ruineuse. Il coûte donc 45 balles. Nous sommes désolés pour ça. Toutes les autres publications sont calculées au plus cheap.
Oui, d'après les images, outre le manque d'appareil critique qui empêche d'en faire un outil et un livre d'histoire, il y a relativement peu de textes, cela est plus un luxueux livre d'images, ce qui est assez amusant quand on songe au côté punk DIY de beaucoup de fanzines.
Pourtant, faire un beau livre qui soit en même temps un ouvrage de réflexion et un outil n'est pas impossible, comme en témoigne "L'art de la bande dessinée", de Groensteen et al., chez Citadelles et Mazenod.
Et après avoir lu le texte de BDZoom je vois que la critique est différente, et les craintes je pense fondées, le manque de légendes et d'index est particulièrement problématique, les découpages laissent curieux. En fait le problème est surtout d'avoir parlé de livre d'histoire, "un voyage dans le fonds de la fanzinothèque" aurait été plus juste.
Pas encore lu mais la maquette est étrange, écrit très gros et les fanzines comme Gorgonzola sont reproduit au format x 1,5 par ex, c'est bizarre. Je n'ai pas encore lu, il y a peu de texte pourtant c'est surtout un gros livre d'images de fanzines bds, sans doute très axé graphzine punk rock etc et pas très Hop ! ou Collectionneur de BD. Ce n'est pas inintéressant a priori mais pas le livre d'histoire du zine BD attendu. Au même moment le dernier cri a fait un livre d'histoire du graphzine, a priori pas plus la came de BDZoom.
Le message de lldm sur une librairie qui "est une mine de fanzines incroyable" m'a rappelé ce délicat objet fait et découpé main, loin des sujets politiques et sociaux que l'autrice traite dans le magazine Bien, Monsieur.
On peut arguer que ce n'est pas une bande dessinée, et pour bien finir l'année puis commencer la suivante, j'ouvre une boite de Pandore: faut-il inclure les graphzines dans la bullebase? Peut-on, doit-on les considérer comme des bandes dessinées?
Très chouette textes sur la langue de Ben Katchor et les Prières de LLdeMars. L'hôte T. Gosselin soliloque agréablement. Un numéro de très haute volée ! Je lis le 5...
Tu verras, c'est une bien jolie petite chose ; par contre, je ne passe pas à Rennes avant un moment a priori, c'est mieux de le commander cette fois-ci.
Oups ! Il ne reste plus qu'une semaine pour participer au prix bande dessinée alternative d'Angoulême ! Toutes les infos sur le site du festival : ici.
Fanzine mythique, prix du festival d’Angoulême 1990, Le Lézard alliant une bonne sélection d’auteurs à une très belle impression et à des dossiers et entretiens particulièrement intéressants. Ils n’hésitaient d’ailleurs pas à mettre la lumière sur de jeunes auteurs prometteurs avec un flair assez remarquable : Nicolas de Crécy (n°9, octobre 1994) et Lewis Tronheim (dans un curieux entretien croisé avec Moebius, n°11, janvier 1996).
Le n°4/5 s’appuie plutôt sur une “valeur sure” en mettant Tardi en couverture, mais n’en est pas moins pointu. Ils décident en effet d’aborder son travail par une seule oeuvre, Ici-Même (scénario de Forest), mais en plus en axant particulièrement sur son adaptation théâtrale ! Le dossier comporte un entretien avec le metteur en scène/adaptateur, un autre avecf Tardi et Forest, centré sur l’adaptation, et est illustré de nombreux croquis du dessinateur à destination des décoristes. Une bande dessinée hommage (et rageuse) de JC Menu complète le tout.
Par cet abord méconnu, les auteurs du dossier permettent tout à la fois d’aborder l’oeuvre culte sans répéter des discours lu mille fois et de conserver la trace d’une création par essence éphémère, faisant de ce travail un objet précieux.
Le numéro est complété de nombreux récits complets avec des auteurs plus ou moins débutants dont Stanislas, Lewis Trondheim, Anne Baraou, Louis Alloing ou Al. Covial. On notera aussi une rubrique fanzine signée Philippe Morin, figure tutélaire du milieu et bien connu des amateurs.
Un livre auto-édité : En Corée, par Yoon-sun Park, auteur de "Sous l'eau, l'obscurité", "L'aventure de l'homme-chien", "Le jardin de Mimi" (en septembre). Plus d'images en cliquant sur la photo.
Je viens d'éditer "The true story of Mr Like", une BD que j'ai réalisé avec Giacomo Nanni en adaptant une série animée que nous avons financée par un crowdfunding.
La BD est disponible chez un seul et unique libraire au monde, mais quel libraire ! Chez Philippe!
Sinon elle est aussi disponible sur notre boutique en ligne :) Vous pouvez visionner un aperçu en pdf en cliquant sur la BD.
J'ignore si quelqu'un l'attendait mais le n°3 de "Ceci est mon corps" est sorti !
Dans ce numéro réalisé dans la sueur et les larmes, vous trouverez :
- la suite du long récit corpautobio donnant le nom au fanzine,
- une interview de Billy B. Beat, chanteur punkoïdo-électro de bon goût,
- Diverses adaptations de textes variés
- Des pages de Joanna Hellgren, Alex Chauvel et Mikkymixx.
Le numéro est dédié au Comte du cul (chanteur bucolique) et préfacé par Mattt Konture.
Avec Fafé, pour notre prochain livre, on a tenté les techniques de financement moderne: fr.ulule.com/lilith-4
Encore un peu plus d'une semaine pour souscrire et avoir une des contreparties, fanzines bonus ou dessins originaux.
On a dépassé 100% mais si on atteint 2000€ c'est zine cadeau pour tout le monde.
Avec Fafé, pour notre prochain livre, on a tenté les techniques de financement moderne: fr.ulule.com/lilith-4
Encore un peu plus d'une semaine pour souscrire et avoir une des contreparties, fanzines bonus ou dessins originaux.
On a dépassé 100% mais si on atteint 2000€ c'est zine cadeau pour tout le monde.
Avec 3 mois de retard, Ceci est mon corps n°2 sort finalement pour la nouvelle année.
Comme son prédécesseur il est composé de planches inédites, de republications de travaux épars (articles et planches) et de 12 pages d'un récit au long cours, projet d'autobiographie par le corps.
C'est ici que j'aurais dû poster ça, l'autre jour.
Bon, je rectifie :
pour l'instant pas de présence dans la bullebase de ces derniers travaux (en cours) de Sébastien Lumineau, et à ma connaissance pas de distribution en dehors de la librairie Alphagraph, à Rennes. Il y en a cinq volumes pour l'instant, c'est un beau travail, intrigant, mélancolique, plein de finesses, d'une grande liberté de manoeuvres et de recherche. Vous savez ce qu'il vous reste à faire.
Quelle belle lecture ! On a un travail sur la forme remarquable (chaque case est un tableau épuré) et un récit qui nous happe avec une efficacité rare pour une graphisme/mise en page qui apparaissent économes (dans un premier temps) et un rythme narratif pas très soutenu (nombreuses variations autour d'une composition/case - le temps est important). En fait, on a une forte ambiance dès les premières pages qui ne disparaît plus (idéal pour un "feuilleton". Il y un mélange de tension (les armes, la violence, l'ennemi, l'invisible) et de légèreté (registre et thème de certains dialogues) entremêlés qui laissent une belle part à la rêverie, aux silences. La qualité de l'impression est au rendez-vous et on se délecte des variations entre cases au trait fin, celles aux noirs profonds et celles au crayon (et à la gomme). Si on ajoute la prestation personnalisée quant aux couvertures (l'auteur sue sang et eau dessus - et parfois on a même un brin de tabac entre les feuilles) c'est du sans faute. En fait, on a juste envie de lire la suite et si je n'avais à faire q'un seul compliment, c'est celui là.
Je ne sais pas vraiment où mettre ce message alors je le mets ici.
Pour ceux qui habitent Genève, ça sera tous les mardis ou presque, de 16h à 19h, salle Castafiore tout près de la buvette de l'ilôt 13. Il s'agit essentiellement des livres & fanzines que j'ai acheté depuis des tas d'années, que j'ai déjà lus et qui ne servaient à rien chez moi, donc autant que les gens intéressés puissent y avoir accès.
Je trouve que la fanzinothèque de Poitiers est surestimée. Je lui reconnais le côté pionnier mais je n'ai jamais trouvé les renseignements que j'y cherchais. Ca me semble tjs un peu étrange.
Hier j'ai fait une note un peu particulière sur 1fanzineparjour, je n'y présente en effet aucun fanzine, mais plusieurs sire se consacrant à ce sujet. Pas mal de bases de données, de jolies choses à voir.
J'aime beaucoup leur boulot, notamment la volonté de scanner des fanzines épuisés (avec accord des auteurs bien sur).
Autre site chouette, ''8 pages comix'', où vous trouverez nombre de fanzines à imprimer, plier, découper et agrafer selon le principe de la fabrique de fanzine, mais avec une mémoire.