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© Glénat

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Tome 3
ScénarioTakahashi Rumiko
DessinTakahashi Rumiko
CouleursNoir et Blanc
Année2005
EditeurGlénat
CollectionBunko
SérieUrusei Yatsura - Lamu, tome 3
autres tomes1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 ...
Bullenote [détail]

 

1 avis

herbv
Et nous voilà déjà au troisième volume de la série. On est loin de la lenteur des sorties de Ranma ½ et on peut espérer qu’en ces temps de sorties pléthoriques, cela permette une meilleure fidélisation du lectorat. Il faut dire que la qualité de la série ne peut qu’aider. En effet, Lamu est incontestablement le meilleur shônen que Rumiko Takahashi a pu faire dans sa longue carrière.

La vingtaine de chapitres proposés devraient achever de convaincre les lecteurs qu’ils sont en présence d’une excellente série humoristique, catégorie absurde. Ceux qui n’accrochent toujours pas pourront définitivement passer leur chemin même si les volumes 4 à 15 se révèleront être encore meilleurs. Ce n’est vraiment que sur la toute fin que la série s’était essoufflée.

Mais revenons au présent. L’arrivée de nouveaux personnages et l’entrée de Lamu au lycée, dans la même classe qu’Ataru (il est difficile de refuser quelque chose à un extraterrestre de plus de 2 mètres de haut qui veut scolariser sa fille), vont permettre de multiplier les situations et les gags. C’est d’ailleurs la marque de fabrique de ce manga : l’introduction continuelle de nouveaux personnages empêchant la série de tomber dans l’ennui.

A noter que l’arrivée dosée d’individus récurrents parfois très loufoques comme Ton-Chan ne se fait pas au détriment des principaux personnages de la série. Petit à petit, leur caractère est développé et on commence à s’apercevoir qu’Ataru n’est pas si stupide et obsédé, que Mendou n’est pas si formidable que cela, que Shinobu est une jeune fille bien seule. Notons aussi l’importance grandissante de Kosuke, un personnage secondaire de plus en plus présent.

Si les histoires courtes indépendantes de 16 pages sont majoritaires, les premières histoires s’étalant sur 3 ou 4 chapitres commencent à faire leur apparition. Si elles peuvent se lire de façon totalement indépendante, il n’en sera pas toujours de même plus tard. Ce sont ces histoires étalées sur plusieurs chapitres qui permettront les meilleurs moments de la série car donnant plus de temps pour mettre en place une ambiance et le développement des personnages et des gags.

Enfin, à noter que la version française reste toujours aussi agréable à lire et il faut saluer le travail d’adaptation qui représente un sacré travail vu comment la mangaka est souvent verbeuse. Et quand on voit la qualité de l’adaptation graphique lorsque le choix de supprimer la VO est fait, on ne peut que regretter que l’on n’ait pas une adaptation complète sur ce point. Mais ne boudons pas notre plaisir et sachons apprécier l’édition que Glénat nous propose.
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