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© Dargaud

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Le Déluge
ScénarioFerri Jean-Yves
DessinLarcenet Manu
CouleursFindakly Brigitte
Année2006
EditeurDargaud
CollectionPoisson Pilote
SérieLe retour à la terre, tome 4
autres tomes1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6
Bullenote [détail]

Alors qu'un véritable déluge s'abat sur les Ravenelles, que Capucine ne s'endort qu'en écoutant Eddy Mitchell et que monsieur Henri construit un navire, Manu, au bras de son ex, croise de débonnaires Atlantes en villégiature dans la région...

 

2 avis

Nadine Heaumouc
Un volume du retour à la terre est toujours une bonne nouvelle, tant le registre de la bande dessinée d’humour peut être aujourd’hui mal desservi. Il faut l’admettre, le bon vieux gag à gros nez tel qu’on le pratiquait dans les années 60 a du plomb dans l’aile. Qu’est-ce qui a survécu aux premières demi-pages de Gaston ? Des séries jeunesse lourdingues ? Des blagues de cul spéciales « Beauf » ? Des livres à thème sur les cyclistes, les fonctionnaires, les dentistes, dont l’objet (et la cible) nous sont tellement étrangers qu'on ose à peine les considérer comme de la bande dessinée. On chercherait à nous convaincre que le rire est vulgaire qu’on ne s’y prendrait pas autrement.
Même si des exceptions existent, il faut le dire, se taper sur la cuisse est aujourd’hui devenu un luxe, pour cause de pénurie de matière première.
Et voilà le retour à la terre. Personnages et situations récurrents, variations dans un univers codé et délimité, bien que débridé ! Les ficelles sont là, et quand elles sont tirées avec minutie et intelligence, comme ici par Ferri et Larcenet, il ne faut pas bouder son plaisir.
On n’avait pas autant rigolé depuis les Gaston d’avant la grande dépression.
Passé l’effet de surprise, quelques années plus tard, que reste-t-il de la série à la lecture de ce quatrième volume ?
Et bien quasiment tout. Larssinet évolue d’album en album comme le faisait Monsieur Jean, on l’a vu passer du stade d’ado attardé à celui de papa. Les personnages secondaires sont peut-être un peu moins présents dans ce dernier album, c’est dommage. Même s’il aurait pu être davantage développé, l’épisode de la visite à Paris de Mme Mortemont reste savoureux, c’est le Tarzan à New-York en version française.
Jusqu’où nous emmènera cette série ? Les auteurs nous en montrent les limites, ce qui les amuse beaucoup, avec « la mise en abîmes de la mise en abîmes » qui nous fait prendre tellement de recul qu’on en sort, avec l’inquiétude que tout ait été dit.
On aimerait pourtant bien que ça dure encore un peu...
Coacho
Le déluge arrive aux Ravenelles, et Larssinet vit le sien avec bonhomie et il se nomme Capucine.
Dans ce 4° tome, même si l’on est toujours à la campagne, ce n’est plus tout à fait le sujet.
Les relations humaines, la paternité, les potes, on profite en strips des réflexions de Ferri sur dessins minimalistes de Manu Larcenet.
C’est drôle, tendre, mais plutôt déjà vu, sans trop de surprises.
Quelques situations amusantes qui ne sauraient combler l’entière déception qui fut la mienne.
Je fondais peut-être trop d’espoir dans cet album qui était précédé de 3 autres tomes remarquables.
A mise en abîme de la mise en abîme n’a peut-être pas fonctionné sur moi.
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