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| Aujourd’hui à Hanami… Miki décide de se rapprocher (beaucoup) de la nature, Kankurô se choisit un maître pour devenir un digne Bushi-Ranger, Megumi exorcise ses vieux démons et les fantômes qui la hantent tout en expérimentant de nouvelles ruses anti-Miki, un client téméraire tente de pratiquer la grivèlerie dans le restaurant Onimaru… et, exceptionnellement, Miki rendra même service à Tsuji et à Megumi. |
  herbv
| Mais que cache donc la mallette du magicien débutant et stressé Isshiki Tsuji, toujours aussi paralysé par le trac dès qu’il s’agit d’effectuer ses tours ? C’est la question qui semble obséder Miki Onimaru qui pense plus à trouver la réponse qu’à faire son travail de livreuse de ramen. Cela a forcément des conséquences sur la qualité de son activité professionnelle, au grand dam de sa patronne de mère qui la punit toujours aussi durement. Pourtant, si on y regarde bien, le comportement fantasque de Miki est en partie à l’origine du succès du restaurant en proposant continuellement une attraction originale, même si elle peut être dangereuse pour les clients. Mais la vie serait si fade sans un tel piment, n’est-ce pas ?
Ce septième volume de la série Noodle Fighter est dans la continuité du précédent, Jun Sadogawa se contentant d’exploiter son dernier personnage en date, Isshiki Tsuji, en alternant les histoires le mettant en scène avec d’autres plus classiques sur la rivalité Miki-Megumi. Cependant, il faut reconnaître qu’il n’y a aucune baisse de rythme et que les onze chapitres proposés sont tous aussi comiques les uns que les autres. L’auteur a raison d’exploiter tout le potentiel de ses personnages et de ne pas les multiplier inutilement. Le souffle burlesque qui aère la série est toujours présent et il est incontestable que le comique de répétition est toujours aussi efficace. C’est ainsi qu’on referme le volume en en redemandant encore, ce qui est plutôt bon signe, vous ne trouvez pas ? |
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