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  herbv
| Nodame et Chiaki ont enfin l'occasion de retourner au Japon. Alors que la première est devenue une star internationale (au moins auprès des amatrices et amateurs de musique classique), le second continue à mener sa carrière de chef d'orchestre au Marlet à Paris. En effet, Chiaki est invité par Miné à diriger l’orchestre R*S à l’occasion d’un opéra. Voilà une occasion à ne pas manquer !
J'écris cette bullechronique bien après celle du vingt-cinquième tome, à l'occasion d'une relecture de la série. Trois années se sont écoulées depuis la sortie du dernier tome en francophonie. Et il faut reconnaître que la lecture du présent opus s'est révélée bien plus plaisante que la première fois (en 2017), faisant passer ma bullenote de trois à quatre petits cœurs. En effet, le peu d'intérêt que Tomoko Ninomiya, l'auteure, porte à la romance entre Nodame et Chiaki passe bien mieux.
Car, oui, il n'y a plus cette attente de la part des lectrices et lecteurs de la série, nous ne nous faisons plus aucune illusion : il n'y aura jamais la scène du mariage, cette conclusion obligatoire dans nos sociétés occidentales. En fait, c'est tant mieux, car c'est bien plus dans l'air du temps. En quoi le mariage doit sceller la vie en couple ? Voilà donc un message que l'on retrouve distillé à l'occasion d'Opera Hen. |
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