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| Jean Doux et le mystère de la disquette molle |
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  Cellophane
| C’est très drôle.
Le côté un peu carré des dessins fait penser à un jeu vidéo (rapprochement utilisé plusieurs fois dans l’album, que ce soit l’escalade des tiroirs ou la descente de pente en fauteuil…) de façon très amusante. S’ils surprennent au début, on s’y fait très vite.
L’humour un peu absurde de l’entreprise fait aussi penser à « la minute à caractère informatif ».
J’ai fonctionné à fond dans la première moitié, trouvant cet humour aussi fin que bien trouvé. Les dialogues qui s’étalent sur plein de cases renforcent le côté savoureux des situations ridicules et tout le côté mystère, moquerie des bureaux et ceux qui y bossent fonctionne à fond.
Et puis dans la seconde moitié, dernier tiers, on perd le lien avec la réalité. Si la caricature était fine au début, on tombe dans l’aventure surréaliste ensuite. C’est toujours aussi bien fait mais ça devient plus délire ; et je n’ai pas autant marché qu’au début.
Au final, l’histoire se tient bien, on a un retournement digne d’Hollywood, un final peut-être un peu plat mais on passe un très bon moment.
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