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| Détenu depuis six mois dans un bagne disciplinaire perdu au fin fond de l’Arctique, Harrisson Banks n’est plus qu’un numéro : le 990320. Désespéré, seul, Banks ignore pourtant que certains ne l’ont pas oublié et poursuivent malgré tout leur but : le tuer. |
  Cellophane
| Bon, au début, je trouvais ça un poil excessivement caricatural… Les méchants sont très méchants, les gentils très gentils… Aucun juste milieu…
Et puis on se laisse entraîner dans l’histoire – elle a beau ne pas être beaucoup plus subtile dans le bien contre le mal, c’est assez sympa de suivre l'avancée des manipulations… Cela dit, je me demande toujours d’où sort ce milliardaire qui vit à l’abri de tout danger tout en étant aussi solide et à ce point battant physiquement…
Les dessins sont sobres, efficaces, et les couleurs mettent parfaitement en valeur l’histoire.
Comme dans le tome précédent, des personnages ont disparu. La sœur revient… Je reste donc convaincu que le premier, s’il était nécessaire pour tout poser, reste assez chargé…
Là, c’est fluide, efficace… peut-être trop prévisible à cause du côté noir et blanc, manichéen, de l’âme des personnages. Mais ça reste agréable à suivre avec un cliffhanger bien fait.
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