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  herbv
| Deathko semble avoir trouvé plus fort qu’elle : la voilà vraiment en mauvaise posture ! Car on peut appeler « mauvaise posture » le fait de se faire assommer puis emprisonner, dans l’attendre d’être torturée par le « trophée » à « moissonner »... Mais rassurez-vous, il en faut bien plus pour mettre en danger notre jeune tueuse, surtout que Lee, bien que cela soit contre son gré, est là pour lui sauver la mise quand cela devient absolument nécessaire.
Casterman publiait de façon accélérée la dernière série d’Atshushi Kaneko, Deathco. Mais la sortie du troisième tome siffle la fin de ce sprint. En effet, un rythme de trois ou quatre mois n’est plus envisageable : le tome 4 vient juste de sortir au Japon. Aussi ne l’aura-t-on pas en français avant six mois, soit le rythme japonais. Est-ce un problème ? Pas réellement, surtout que l’on ne peut pas dire que le suspense soit insoutenable. Hélas, c’est là qu’est l’os, y’a pas délice.
Ce tome 3 est décevant. Le premier souci est lié à l’absence de progression du récit. Tout comme le « trophée » des chapitres 13 à 15, on ne réussira pas à apprendre quoi que ce soit de la mystérieuse guilde qui missionne les « reapers ». Et ce n’est pas un chapitre 16 totalement inintéressant qui corrige ce point. Le second problème concerne le nouvel individu à « moissonner ». Ce n’est pas un combattant, et du coup, on s’ennuie un peu devant la prestation de Deathko. Deathco n’est pas bien disco : voilà qui est gênant ! |
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