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| Chez Monsieur Akai, Kajitsu semble avoir trouvé la réponse qu'elle cherchait. Elle prend finalement la décision de rentrer aux côtés de son frère et d'assumer ses sentiments pour lui. Mais la relation de Natsu avec Erika prend une tournure de plus en plus sérieuse. |
  herbv
| Kajitsu a décidé d’avouer son amour à Natsu, son demi-frère par alliance. Cependant, celui-ci sort avec Erika, une très jolie et excellente élève de leur lycée, ce qui créé un doute sur la réussite de cet aveu. De son côté, notre jeune héroïne doit rompre avec Monsieur Akai, son professeur de calligraphie. Voilà deux épreuves bien difficiles pour une lycéenne aussi peu sûre d’elle. De sa réussite dépend pourtant son bonheur, il n’y a plus de doute. Néanmoins, il ne faut pas oublier un autre obstacle, Tarô, qui ne veut pas entendre parler d’une idylle entre frère et sœur, même s’ils ne sont pas du même sang.
Après un cinquième volume peu passionnant consacré principalement à la relation entre Natsu et Erika, Shioko Mizuki, l’auteure, repasse à la vitesse supérieure afin de conclure Crossroad. On retrouve ainsi ce qui nous plaisait dans les trois premiers tomes : l’humour mâtiné de sérieux des relations entre Kajitsu et Natsu, le tout soutenu par une narration bien rythmée. Le dessin reste égal à lui-même, c'est-à-dire très plaisant. C’est ainsi que l’intérêt pour la série s'en retrouve renforcé et qu’on se retrouve à attendre avec impatience sa fin avec confiance, le passage à vide dans l’histoire n’ayant pas trop duré.
Une histoire indépendante d’une trentaine de pages vient clore l’ouvrage et elle se révèle être tout à fait plaisante à lire. Dans un style qui rappelle immanquablement Cyber Friends, la mangaka nous narre une petite tranche de vie de lycéens qui découvrent l’amour à l’occasion des vacances d’hiver. Futaba est une jeune fille plutôt volontaire, dans la droite ligne des personnages féminins de l’auteure, ce qu’on ne peut qu’apprécier. Quant à Yûma, il semble être un garçon compréhensif et honnête, même s’il semble plus intéressé par une relation superficielle au début. Rien de bien original, donc, mais la nouvelle se laisse lire sans aucun déplaisir. |
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