|
| |
|
|
|
|
| Asagi se voit brusquement désigné comme le successeur du souverain. Sarasa veut vérifier ses réelles intentions, aussi s’introduit-elle seule au palais. Shuri se lance à sa poursuite. L’affrontement de Sarasa et Asagi est-il inévitable ? |
  herbv
| La série est toute près de connaître son dénouement, Tatara se confrontant enfin au souverain Ukon. La chute de la royauté semble imminente, avec seul Asagi en dernier rempart face à l’alliance entre Tatara et Shuri, et la Reine blanche semblant tirer le peu de ficelles qui lui restent. Toutes les forces en présence se concentrent donc au sein du palais pour le dénouement final. Mais Asagi est-il aussi peu fiable envers le pouvoir royal qu’il l’a été envers la rébellion ? Tout pourrait bien dépendre de la réponse à cette question.
Avant-dernier volume de l’histoire de Sarasa et de Shuri, les autres étant une simple compilation de petites histoires parallèles parues dans le magazine Betsucomi, Yumi Tamura entraîne ses lecteurs dans un tourbillon d’évènements qui font monter la tension dramatique du récit avant l’apothéose finale. Et cela se révèle très efficace car il est très difficile de lâcher ce 24ème tome avant la fin. Malheureusement, la narration est assez embrouillée à certains moments, comme souvent avec la mangaka lorsque les évènements se précipitent en différents lieux simultanément. Le dessin semble suivre la même évolution mais cela n’est pas bien grave, arrivé à ce moment de la série, plus personne ne prêtera attention à ces insuffisances.
Heureusement, pourrait-on dire, les différents combats connaissent rapidement une issue, l’histoire principale n’étant développée que sur 145 pages et c’est sur un suspense à la limite du soutenable que l’on passe à une série de bonus assez étoffés. On a droit à une petite série de yon-koma (strips humoristiques en 4 cases) très plaisants d’autodérision et à une varation sur le thème de Basara se déroulant dans un lycée de garçons qui ne manquera pas de faire penser à Parmi eux à cause d’une Sarasa travestie au sein de cet univers totalement masculin. C’est assez réussi et on s’amuse pas mal à la lecture de cette fantaisie. Et cela permet de faire retomber un peu la tension avant d’attaquer le sprint final du prochain volume. |
|
|
|
|
|
| |
| |