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Tezuka - L'histoire des 3 Adolfs, Phénix, Bouddha, etc... [ Bandes Dessinées : auteurs, séries, et toutes ces sortes de choses... ] retour forum Pages : 1 - 2 - 3 - 4 - 5
| | | | Encore une découverte d'un Tezuka, qui divise. Explications dans la chronique. |
| | | | Bonjour à tous,
Un petit message pour vous prévenir de l'existence relativement récente d'un site / blog exclusivement consacré à Tezuka ! Le but est de recenser ses œuvres, l'éventuelle actualité (ça se fait rare !), partager des anecdotes et de documenter sa vie et ses influences.
Si ça vous intéresse, ça se passe ici ! |
| | | | Un dernier tome qui me laisse une étrange sensation. Les choses démarrent bien, dans la lignée du tome 3. Je me dis que (et je fais me faire lyncher en place publique pour oser une telle comparaison) Tezuka utilise les mêmes ficelles queKen Follet dans sa manière de méler histoires et Histoire et de jouer d'un panel de personnages finalement très stéréotypés qui fonctionnet comme autant d'archétypes.
Puis la chute qui ne vient pas. Beaucoup de Togué qui continue de me hérisser comme personnage, une couche de drame sur un lit de tragédie avec du malheur en sauce pour bien émouvoir. et la chute qui ne vient pas. Tezuka s'est senti obligé de conclure son récit en Palestine, Kamil ayant rejoint l'armée d'un Israel fraichement créé et Kaufmann, membre de l'OLP par un concours de circonstances. Et si il avait jusque là parfois fait preuve d'une relative légèreté dans son utilisation du contexte historiqure (ce n'est pas le sujet mais il occule allègrement l'atmosphère belliciste, le fanatisme, le racisme qui gangrénait la société japonaise, se limitant à quelques allusions aux exactions en Mandchourie), il se vautre cette fois à force de raccourcis et de demi-vérités. Le regard qu'il porte sur la question palestinienne est assez incompréhensible. Il est amusant de voir qu'il repésente essentiellement les membres de l'OLP enturbannés comme des "arabes de cinéma hollywoodien", ce qui en dit long . Il est dans l'image d'Epinal mal digérée. Il a compilé 2-3 faits et utilisé ce contexte pour habiller son dernier acte dans un dernière souche de violence, mais sans se poser de questions sur la pertinence de sa représentation. C'est dommage parce que cette conclusion tombe complètement à plat et laisse un goût désagréable. Il aurait pû en finir beaucoup plus facilement et efficacement, abandonnant les personnages dans les ruines de Kobé. |
| | | | le tome 2 m'avait passablement ennuyé. Ce troisième tome m'a agréablement surpris. Est-ce à cause de l'absence quasi totale de Soheï Togué ? EN effet, ce troisième tome s'intéresse sur les destinées des 2 Adolf lors des premières années de guerre.
On retrouve l'humanisme à 2 balles de Tezuka et un certain goût pour le deus ex machina mais, dans l'ensemble, je me suis plus pris au jeu. |
| | | | Je n'ai jamais été grand amateur d'Osamu Tezuka, le grand maître du manga. Imaginez que pour les Japonais, Tezuka représente encore plusdqu'Hergé pour un Belge. C'est dire l'importance de cet auteur dans la culture populaire japonaise.
L'Histoire des 3 Adolf est une oeuvre tardive de Tezuka, réalisée dans les années 80. Il s'est déjà adapté à la déferlante du Gegika, évolution du manga vers un lectorat plus adulte, même si Tezuka conservera toujours un style emprunt d'humour. C'est aussi, avec la vie de Bouddha, l'un des premiers mangas de Tezuka publié en français, en partie parce qu'il se déroule en partie en Europe, ce qui le rendait plus accessible à un public occidental, et aussi parce qu'il est considéré comme l'un de ses plus grandes réussites.
L'histoire commence en 1936, pendant les jeux Olympique de Berlin. Soheï Togué est un journaliste japonais couvrant l'événement. Il en profite pour renouer contact avec son jeune frère, qui étudie à Berlin. Mais son frère, proche des milieux communistes, est assassiné par la Gestapo. En enquêtant sur sa mort, Togué est à son tour enlevé et torturé. Il comprend que son frère était en possession d'un document à l'importance cruciale.
Pendant ce temps, à Tokyo, un membre de l'ambassade allemande et nazi convaincu est soupçonné du meurtre d'une geisha. Très vite, le lecteur comprend que les deux affaires sont liées. Nous faisons aussi connaissance du fils de ce diplomate: Adolf Kaufman, jeune et inconscient de ce qui se joue. Son meilleur ami est Adolf Kamil, le fils du patissier juif du quartier. Que subsistera-t-il de cette amitié au vu des événements qui se joue.
Comme toujours chez Tezuka, cette histoire est marquée par un humanisme profond, malgré une ambiance plus pessimiste qu'à l'accoutumée. Par contre, je retrouve les facilités typiques de la narration chez Tezuka. Pour faire avancer son intrigue, il n'a jamais peur des raccourcis, des grosses ficelles et des "deus ex machina". Un bon feuilletoniste "plante" des éléments qu'il réactivera au besoin lorsqu'il a besoin de relancer son intrigue lors d'une situation de blocage. Tezuka ne s'embarasse pas de dissimuler ses ficelles. Des personnages apparaissent ou disparaissent selon son bon plaisir. Les coïncidences sont nombreuses. On peut soit les accepter et apprécier un récit malgré tout bien construit et plaisant. Personnellement, cela me gâche un peu le plaisir. |
| | | | Oui, j'ai écrit "superfétatoire" à dessein. On se demande parfois pourquoi Tezuka à greffer ci et là des passages humoristiques, dont l'insertion paraît alors peu naturelles. Quand j'avance que c'est difficilement critiquable, c'est que ça fait partie des caractéristiques du Maître. |
| Le PBE, 18.07.2014 à 15:06 | 355837 |
| | | Je l'ai lu en anglais (et non, pas en norvégien ;o) donc pas de Zidane.
Je n'ai rien contre l'humour et les anachronismes mais pour moi ces passages s'insèrent mal dans l'histoire.
(en fait au lieu de comprendre que c'était une histoire sérieuse avec un peu d'humour j'ai persévéré à me demander ce que venaient faire ces passages humoristiques dans une histoire sérieuse...) |
| | | | Je me rappelle que j'avais lu les 2 premiers tomes à la suite. J'avais absorbé 800 pages sans pouvoir m'arrêter. Une vraie délectation. J'avais ressenti une baisse dans la seconde moitié de la série. Des longueurs et digressions superfétatoires. Je comprends assez bien tes remarques. L'humour et l'anachronisme sont typiques de Tezuka, c'est plus difficilement critiquable.
Parmi les anachronismes, il y en a un célèbre qui vient de la traduction. A un moment, il est question de Zidane. Sur cette référence-ci, je suis plutôt partagé. |
| Le PBE, 18.07.2014 à 13:18 | 355828 |
| | | Ayé, fini. Je m'attendais à mieux de ce grand classique. Un peu comme Thierry plus bas avec Phénix. Certes il y a cette grande sage sur la vie de Bouddha qui n'est pas inintéressante (ne serait-ce que pour ma culture générale) mais j'ai trouvé le personnage de Bouddha bien peu charismatique (un paradoxe!) en comparaison de la galerie de ces disciples et détracteurs (vous allez me dire que c'est pareil pour Tintin). L'autre point qui m'a gêné c'est l'humour et les anachronismes que j'ai trouvé à contre-temps du récit. |
| | | | Disons le, jusqu'ici, je n'aimais pas Tezuka. Son dessin un peu naïf m'ennuyait prodigieusement, surtout quand il était associé à des histoires à peine plus adulte...
Pour dire la vérité, je n'arrivais pas à rentrer dans les histoires, dans le dessin me rébutait.
Quelle surprise avec ces deux séries au propos résolument noir et immoral (ou amoral, selon le point de vue). Le dessin fait un contraste fort avec le fond du livre et l'absence de toute limite des caractères, la vraie liberté des sujets abordés et la maestria du découpage font oublier quelques ficelles un peu grosses du scénario.
Mes premiers Tezuka, donc, il était temps. Surement pas les derniers. |
| | | | Oui, une réponse au gekika assez rigolote, avec le recul. Tezuka ne peut chasser entièrement son naturel.
Parmi les histoires, Cap Ecailles est sans doute la plus étonnante : l'histoire semble être déjà vue, le côté fantastique rassure sur l'impossibilité de la chose, et pourtant Tezuka puise indéniablement son idée dans des phénomènes réels (Paul Karason, si tu nous lis...) |
| effer, 19.08.2013 à 22:45 | 352158 |
| | | Mélange de récits fantastiques, de SF, ou apocalyptiques; Sous notre Atmosphère est une série de récits complets où Tezuka prend un style plus réaliste ou plus caricatural que son style shonen ou shojo habituel pour nous plonger dans des histoires sombres pleines d'amours impossibles, d'exécutions, de tortures.
Tezuka répond ainsi aux auteurs du gekika par des histoires sérieuses mais dans un graphisme plus caricatural.
Si les histoires sont très fortes, le dessin est parfois déroutant.
L'ensemble emporte grâce aux histoires et à leurs chutes; 4* |
| | | | excellente mise en bouche, du Tézuka comme je l’aime, alerte et humaniste. Je lui pardonne aisément les facilités habituelles parce que son histoire est bonne et ses personnages attachants. Il ne se disperse pas non pls entre de trop nombreux personages, se concentrant sur une poignée de personnages forts et contrastés. Mais Tézuka retombe dans un couplet préchi-précha dans la dernière partie. Dommage |
| | | | Alors moi je ne trouve pas. Face à la déshumanisation engendrée par la guerre, que reste-t-il aux soldats ? Pour Mizuki c'est l'humour potache, pour Terrence Malick c'est le côté fleur bleue (souvenez-vous de la femme sur la balançoire dans la ligne rouge). |
| NDZ, 27.06.2011 à 10:22 | 338777 |
| | | Thierry : | Je suis assez partagé sur ce manga, mais toutes mes réserves pourraient, je crois, s'appliquer à toute l'oeuvre de Tezuka.
D'un côté, je suis assez admiratif devant une histoire ambitieuse, très bien construite et qui ne manque pas de souffle. Tezuka y aborde, pas le biais du fantastique et de la mythologie, les prémices de l'histoire des civilisations. La quête de l'immortalité de certains des personnages est tout aussi littérale que symbolique. Ils veulent aussi l'immortalité de leur nom, et qu'importe le prix à payer. La démonstration est parfois un peu trop appuyée mais le plaisir est là...
Mais d'un autre côté, j'ai vraiment du mal avec l'hunmour bas de plafond de Tezuka. De la bonne grosse comédie un peu infantile, qui me gonfle un peu. Mais cet humour et ce mélange entre humour bon enfant et sujet sérieux est une caractéristique de Tezuka, il me semble.
Et je m'en voudrais de ne pas signaler une étonnante scène de fellation nasale. Mais je dois voir le mal partout. |
L'Opération mort de Mizuki (et tout ce que j'ai lu de Mizuki en fait) est un parfait autre exemple (périlleux et du coup pas au point selon moi, à ma première lecture) d'un mix sérieux - voir tragique - et d'humour potache. Signature d'un courant? Tendance d'une époque? |
| | | | Je suis assez partagé sur ce manga, mais toutes mes réserves pourraient, je crois, s'appliquer à toute l'oeuvre de Tezuka.
D'un côté, je suis assez admiratif devant une histoire ambitieuse, très bien construite et qui ne manque pas de souffle. Tezuka y aborde, pas le biais du fantastique et de la mythologie, les prémices de l'histoire des civilisations. La quête de l'immortalité de certains des personnages est tout aussi littérale que symbolique. Ils veulent aussi l'immortalité de leur nom, et qu'importe le prix à payer. La démonstration est parfois un peu trop appuyée mais le plaisir est là...
Mais d'un autre côté, j'ai vraiment du mal avec l'hunmour bas de plafond de Tezuka. De la bonne grosse comédie un peu infantile, qui me gonfle un peu. Mais cet humour et ce mélange entre humour bon enfant et sujet sérieux est une caractéristique de Tezuka, il me semble.
Et je m'en voudrais de ne pas signaler une étonnante scène de fellation nasale. Mais je dois voir le mal partout. |
| NDZ, 03.07.2010 à 11:24 | 332176 |
| | | Numéro d'équilibriste assez réussi: on a des destinées individuelles qui racontent le Japon dans la guerre, et ses cruautés, ses absurdités, ses révoltes, ses actes de courage et de lâcheté, de bêtise et d'intelligence avec un feuilleton pas forcément toujours juste (stéréotypes, trajectoires tirées par les cheveux, psychologies à la limite de la vraissemblance) mais qui implique des personnages somme toute attachants (beaucoup de personnages féminins, et ça fait du bien). La grande qualité du récit est de poser des questions, de n'apporter aucune réponse et surtout de ne pas se vautrer avec complaisance dans la violence insoutenable et aveugle de tous les épisodes racontés. L'évocation du conflit proche-oriental est très périlleux... et pas forcément la meilleure idée.
En tout cas, je comprends mieux comment Urasawa s'inscrit dans la suite logique du feuilleton populaire à dimension historique et qui réfléchit (parfois ?). Monster transpire d'échos aux trois Adolf. Pluto est en quelque sorte l'avènement de la filiation, avec les deux noms en couverture. Assurément un des Tezuka que j'ai pour le moment lu avec le plus d'intérêt. |
| | | | Je ne sais pas si Tezuka a fait beaucoup de mangas mauvais, mais celui-ci en fait partie : à vouloir réaliser des histoires courtes humoristiques avec de vagues rapports au théâtre (la plupart du temps, seuls les titres sont évoqués), Tezuka oublie complètement sa capacité à camper des personnages. Ici, on cherche plus à amuser et à citer qu'à créer, et cela s'avère très pénible à la lecture. Pourtant le point de départ était assez intéressant (lier une pièce de théâtre à une situation), mais se révèle finalement très pauvre tant il est systématique (on demande à l'Ara de jouer une pièce, et il révèle que la réalité est très proche de la pièce en question). Tezuka aborde aussi la question de l'acteur, mais de manière bien maladroite : son héros adulé par les foules va jusqu'à se décrire comme un mauvais acteur parce qu'il ne sait que répéter (d'où son surnom). A mettre en parallèle avec la dernière nouvelle d'Endo pour constater qu'on peut très bien parler du théâtre en manga. |
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trouve sur actuabd (dont je suis abonne a la newsletter-mode coming-out off):
« Le manga est virtualité. Le manga est sentiment. Le manga est résistance. Le manga est bizarre. Le manga est pathos. Le manga est destruction. Le manga est arrogance. Le manga est amour. Le manga est kitsch. Le manga est puissance. Le manga est… Il n’y a pas encore à ce jour de conclusion à cette liste de définitions ». Ainsi s’exprimait Tezuka Osamu en 1969.
pas mal comme definition; un peu long, mais comme le manga est souvent exhuberant... |
| phicil, 03.09.2007 à 21:03 | 292245 |
| | | david t : | enfin de retour, les phénix, ce qui fait que je peux enfin les lire et... pour faire court, disons que l'appellation "chef d'oeuvre" n'est pas usurpée. les meilleurs tezuka que j'aie lu jusqu'à maintenant. |
alors bientôt le tome 4 et 5 !!!
ils depotent ceux là, ce sont mes préférés,
tient, ca me donne envie de les relires :-) |
| effer, 03.09.2007 à 19:31 | 292237 |
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Tu as parfaitement raison, mais personne n'en avait encore parlé.
La banque de données de Bulle d'air est tellement vaste, que l'on passe souvent à côté de pépites.
(mode cirage de pompe Off/) |
| effer, 03.09.2007 à 18:04 | 292230 |
| | | Une nouvelle série de Tezuka commence à paraître dont le titre est Midnight.
Un jeune chauffeur de taxi fait toujours ses courses de nuit dans une mégalopole: chaque client fait l'objet d'un court récit où notre chauffeur doit déméler les situations les plus étranges ou dramatiques qu'il soit. Autant de courtes tranches d'humanité dont notre chauffeur ( qui porte en lui un lourd passé) sert de fil rouge. Deux tomes sont déjà parus. J'ignore pour le moment le nombre de tomes existant. |
| | | | david t : | enfin de retour, les phénix, ce qui fait que je peux enfin les lire et... pour faire court, disons que l'appellation "chef d'oeuvre" n'est pas usurpée. les meilleurs tezuka que j'aie lu jusqu'à maintenant. |
Surtout "Les Temps futur" qui est pour le moi le meilleur de tous (si on doit comparer...). |
| | | | enfin de retour, les phénix, ce qui fait que je peux enfin les lire et... pour faire court, disons que l'appellation "chef d'oeuvre" n'est pas usurpée. les meilleurs tezuka que j'aie lu jusqu'à maintenant. |
| | | | d'habitude assez preneur pour tout ce que fait tezuka, ici j'ai eu toutes les difficultés du monde à accrocher à l'histoire. je veux bien accepter une prémisse même aussi outrée que celle-là, mais là on frise trop souvent le ridicule. un volume assez peu inspiré au final, où tezuka semble se contenter d'aligner des références disparates sans qu'il y ait vraiment grand' chose pour les lier. sans parler du petit côté moralisateur particulièrement lourd. dommage. |
| THYUIG, 17.03.2007 à 11:46 | 281024 |
| | | J'aimerais bien être aussi mauvais que lui en dessin, juste pour rigoler un peu... |
| | | | Herbv : | lanjingling : | tezuka a un nombre tres limite de types graphiques de personnages qu'il reutilise constamment (l'oppose de franquin) ; peut-etre parce (...) |
Peut-être tout simplement, comme Tezuka le disait lui-même, parce qu'il n'était pas bon en dessin :)
Ensuite, il ne faut pas oublier qu'il a très rapidement monté un studio pour produire ses innombrables planches et que ça a pu conduire à une certaine standardisation. |
standardisation due au studio , bien sur;
il n'etait pas bon en dessin , mais il a quand meme fait d'excellentes b.d. , j'essayai de comprendre comment il a pu surmonter cette faiblesse |
| | | | il y a aussi le fait que ses personnages sont des archetypes, avec des traits de caracteres semblables d'oeuvre en oeuvre. |
| Herbv, 15.03.2007 à 8:08 | 280842 |
| | | lanjingling : | tezuka a un nombre tres limite de types graphiques de personnages qu'il reutilise constamment (l'oppose de franquin) ; peut-etre parce (...) |
Peut-être tout simplement, comme Tezuka le disait lui-même, parce qu'il n'était pas bon en dessin :)
Ensuite, il ne faut pas oublier qu'il a très rapidement monté un studio pour produire ses innombrables planches et que ça a pu conduire à une certaine standardisation. |
| | | | Cobalt 60 : | Eh bien, au risque de me faire lyncher moi aussi, |
t'es un peu loin , mais attends un peu de passer par shenzhen...( sans compter tes a priori negatifs sur kyoko okazaki )Cobalt 60 : | je dois dire que je me suis copieusement emmerdé à la lecture des huit volumes (sans sauter de pages). Ça m'a même définitivement vacciné de Tezuka (malgré un nouvelle tentative avec l'Arbre au Soleil que j'ai nettement plus apprécié). D'abord, hormis les décors plutôt réussis, je n'aime pas le dessin, |
tezuka a un nombre tres limite de types graphiques de personnages qu'il reutilise constamment (l'oppose de franquin) ; peut-etre parce que pour lui c'est la psychologie des personnages qui compte , leur apparence physique n'est la que pour supporter la dynamique du recit (d'ou des personnages graphiquement tres simples mais tout en mouvement ) ; ils ne sont visuellement que des symboles simples , d'ou les caricatures parfois extremes , dans lesquelles il peut projeter toutes sortes d'emotions & de pensees (un peu comme tintin , sauf que dans ce dernier cas , c'est le lecteur qui peut se projeter dans ce personnage , chez tezuka, c'est tout autant l'auteur) ; la reelle presence physique est dans les decors , tres travailles
cobalt 60 : | ensuite l'humour qui consiste par moment à jouer avec le support m'a paru complètement déplacé et enfantin. Je ne me prononcerai pas sur la véracité historique qui n'a que peu d'importance au fond. | ne serait-ce pas parce que l'introduction d'un humour parfois grotesque ne correspond pas a l'idee que tu te fait de la maniere de raconter la vie de bouddha , que celui-ci t'a paru completement deplace ?
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| Matrok, 09.03.2007 à 19:36 | 280440 |
| | | yan : | yan : | Des avis sur ce livre, svp? |
Toujours pas? :'( |
Je l'ai lu le WE dernier... Je me suis régalé ! Tezuka est un conteur merveilleux. |
| | | | C'est toujours aussi impressionnant : J'ai voulu lire les quelques pages couleurs du début. "Et puis, allez, je vais lire les quelques pages NB imprimées sur le reste de papier glacé". Et on se retrouve à lire la suite. Je voulais me mettre l'eau à la bouche avec 5 pages, j'en ai lu 340.
Encore plus que le scénario, que l'histoire elle-même, c'est le pouvoir d'attraction, la palatabilité de cette série qui me subjugue. |
| | | | Pour l'anecdote, Il s'agit officiellement, avec Golgo 13 et un peu de Tatsumi, du premier manga publie en France, dans le Cri qui Tue (dont je cherche toujours les numeros 4 a 6), sous le titre Le Systeme des Super Oiseaux. Les quelques episodes que j'y ai lus, m'ont paru plutot chouettes. |
| | | | J'ai toujours eu un probleme avec Tezuka. Autant ses oeuvres qui relevent du manga dans sa tradition la plus pure, comme "Prince Norman" gardent un charme intemporel, autant pas mal de titres dans lesquels il a tente de rendre son propos plus "serieux" decoivent parce qu'ils me semblent hesiter entre la tradition familiale du manga et le cote plus sombre herite du gekiga.
Dans le cas present, Tezuka imagine que les oiseaux aient subitement connus une evolution fulgurante qui deboucha sur la prise de controle des oiseaux sur les humains.
Fable ecologique a rapprocher de "demains, les chiens" et "fragment de l'encyclopedie des dauphins" (un temps repris sous le titre de "demain, les dauphins", si je ne me trompe... les traducteurs font parfois preuve d'une originalite sans limite), "Demain les oiseaux" permet a Tezuka de developper ses idees humanistes, tout en denoncant les travers de la societe humaine.
Certains des recits qui composent ce recueil sont tres reussis, ainsi le destin de Pololo, messie des oiseaux. D'autres paraissent terriblement convenus, parfois meme maladroit, comme le recit se deroulant en Afrique. |
| | | | ingweil : | Pas totalement convaincu par cet opus. |
pour moi kirihito est une excellente série de tezuka, quoique il faut attendre le tome 2 pour comprendre où il va avec tout ça (le premier tome a les défauts d'un feuilleton pas trop planifié: bref, il est chaotique et personnellement ne m'a pas trop convaincu). un tezuka éclaté, baroque et plein de fureur. |
| Dieu, 03.12.2006 à 16:20 | 271259 |
| | | Ici tu as des petites critiques sur des Tezuka. |
| yan, 03.12.2006 à 14:29 | 271250 |
| | | yan : | Des avis sur ce livre, svp? |
Toujours pas? :'( |
| | | | Bonjour 1er message, ce site découvert grâce à la sitothèque de la médiathèque m'a tout l'air d'être fort interessant et enchantant !!
Bref j'ai lu Ayako, j'ai beaucoup aimé, même si l'ambiance est certes glauque, l'histoire familiale est déroutante et il est très interessant de voir comment ca a pu se passer à cette époque, les 1er pas des femmes... Etonnant et on s'attache vite à la facon de déssiner de Mr Tezuka.
A bientôt |
| chrisB, 15.09.2006 à 19:59 | 263943 |
| | | Tesuka et moi c'est decidement une belle histoire d'amour...Blackjack le chirurgien renegat, en voila un projet pas commun (donc interessant), sous forme de nouvelles nous decouvrons plusieurs "facettes" de ce personnage assez exceptionnel. Ca c'est pour la théorie, pour la pratique, ca donne des nouvelles sympas, rien de transcendant sous le soleil, ca se lit sans déplaisir et pour moi c'est déja ca de gagné avec cet auteur. 2 bistouris |
| yan, 09.09.2006 à 11:08 | 263452 |
| | | Des avis sur ce livre, svp? |
| | | | Pas totalement convaincu par cet opus. Je n'y ai pas trouvé la verve de Tezuka pour broser l'archaïsme de certains villages nippons (où il excellait dans Ayako par exemple). J'ai l'impression que ça va un peu trop vite (la métamorphose, la fuite) comme si finalement ce village ne l'intéressait que moyennement, moins que l'histoire très "Elephantman-like", malheureusement un peu trop dans un esprit "rejeter les autres c'est mal". Un tezuka en petite forme quoi. 2 hommes-chiens (ou 2 homme-chien ?^^). |
| yan, 16.06.2006 à 19:23 | 256681 |
| | | Acheté, lu, puis ramené à mon libraire.
Certes le dessin et l'encrage sont classes, la narration impeccable, mais l'histoire m'a complètement laissé sur le chemin.
Un enfant naît sans membres, sans yeux, sans nez, sans bouche, sans oreilles, etc, après que son père ait échangé à 48 démons autant de parties du corps de son fils contre le pouvoir sur le pays. Abandonné, l'enfant est recueilli par un chirurgien qui rapidement décèle les fabuleuses capacités psychiques du bambin et l'aide à ressembler à un petit garçon comme les autres.
Tout ce début d'histoire est bon, voir même très bon, bien mené et très bien raconté.
C'est après que ça se gâte, lorsque l'enfant, tourmenté sans cesse par des démons et des fantômes, part à la recherche d'un lieu où vivre en paix. Sur son chemin il doit lutter contre ces démons qui le pourchassent. S'ensuivent quelques pages où le héros poursuit son voyage, puis quelques pages où le héros se bagarre, puis quelques pages où le héros poursuit son voyage, puis quelques pages où le héros se bagarre, et ainsi de suite…
D'une amorce d'histoire tout à la fois drôle et terrifiante, Tezuka embraye alors sur du convenu.
Bien évidemment, à la fin de ce tome 1, l'un des démons vaincu se révèle être l'un des démons ayant conclu un marché avec son père et notre courageux petit héros récupère, en le terrassant, un bras. Premier boss de fin de tableau, au suivant.
Dommage car ça démarrait bien…
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| | | | [prince_norman3 : album sans vignette] Conclusion du tryptique, sans surprise aucune. Tezuka y fait preuve de tpout son savoir-faire et le met au service d'un recit qui ne vise qu'a faire rever les petits nippons. Autrement dit, lecture delassante et une preuve du talent de Tezuka, a lire qvec une pointe de nostalgie. 3 gueldans |
| pikipu, 31.05.2006 à 18:45 | 255036 |
| | | Un nouveau Tezuka chez Cornélius pour juin?
Mot de l'éditeur:
Parmi les nombreuses inventions et expérimentations qui ont fait d'Osamu Tezuka le "dieu du manga", il en est une, peut-être moins connue, qui ne manquera pas de surprendre les amateurs. Car avec HATO, toujours plus haut, c'est au "roman graphique" que s'attaque le grand homme, et ce bien avant que Will Eisner, autre génie populaire, n'en pose les bases au début des années 70, aux États-Unis. Créé au cours de la période la plus faste et la plus inspirée de la carrière de Tezuka, HATO mêle textes illustrés et bande dessinée pour raconter les aventures de deux frères dont le destin va être bouleversé par la querelle ancestrale qui oppose deux des plus puissantes divinités du Japon. Dans cette œuvre qui mêle avec bonheur mythologies animistes, légendes japonaises et fantaisies propres au père d'Astro Boy, le merveilleux est aux commandes : les enfants y ont la puissance de véritables colosses, les animaux s'y travestissent en voyageurs pour duper plus facilement les Hommes, et les éléments de la nature y dissimulent autant de déesses amicales que de dieux jaloux. Poésie et enchantement sont les maîtres mots de ce bijou, que Tezuka lui même décrivait comme "son enfant préféré".
Miam! |
| | | | [arbre_au_soleil6 : album sans vignette] Ca commence serieusement a me saouler. L'intrigue tire mechamment en longeur et malgre quelques details interessants, certains personnages m'apparaissent de plus en plus caricaturaux, dont Heusken. Ce dernier permet a Tezuka de mettre en lumiere le racisme des japonais, qui rejettent les femmes qui ont couches avec des occidentaux. Mais l'evolution du personnage me parait tellement artificielle que je ne la trouve pas credible. 2 sushis |
| effer, 28.04.2006 à 17:24 | 250837 |
| | | Dororo T1, du vrai Tezuka bien "foutrack", un chambara, plein de monstres et de personnages caricaturés; le deal, un pauvre gars maudit accompagné par le petit Dororo, punaise, roi des voleurs retrouvera-t-il les 48 morceaux de son corps volés à sa naissances par 48 démons. Je ne sais pas si cela fera 48 tomes mais le premier a la pêche et, surtout, Tezuka ne se prend au sérieux, il site d'autres dessinateurs et se met en scène à la table à dessin, une série qui promet: 3 prothèses! |
| chrisB, 15.03.2006 à 15:17 | 245590 |
| | | Ahh un bon Tezuka, je le preferre nettement dans le registre "d'aventure drole". C'est sympa comme tout, le fond (les 2 ecoles de medecine) est interessant, les personnages tres charismatiques et le ton relevé !! 3 boules de riz |
| | | | [prince_norman2 : album sans vignette] Tout pareil que le premier: destine aux ados nippons, sans doute un peu vieillot mais Tezuka est au sommet de son art. tres plaisant et 3 lunes.
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| | | | ca reste de tres bonne tenue, malgre quelques longueurs. 4 etoiles. |
| | | | Thierry : | bulle d'air editions ? | i z'auraient un de ces catalogues : namrepus, everland, tezuka, jeanagun... |
| | | | c'est en projet, mais a usage personnel; maintenant, si tu te sens des velleites d'editeur & pres a acheter les droits aux detenteurs japonais, je serais ravis de faire affaire avec toi -mais ne t'affole pas, il y a encore du boulot, & d'autres priorites :o) |
| | | | en regardant ici, je vois que les premiers recits de "Phoenix" n'ont pas ete traduit par Tonkam. Seront-ils un jour traduits ? |
| | | | partant du principe que le but premier de ce manga etait de faire rever les petits nippons d'il y a 40 ans. Le scenario est enleve et le dessin rond et sympathique. L'ensemble a vieilli, mais reste plaisant. 3 etoiles |
| chrisB, 28.12.2005 à 9:28 | 235849 |
| | | Moi Pour les 3 Adolfs, le premier tenait la route semblait même prometteur, le second est le pire (pas souvent lu un truc aussi mauvais), les 2 derniers sont très très moyens, au final le 1 c'est le meilleur :o) |
| Dieu, 28.12.2005 à 0:54 | 235846 |
| | | Je n'ai lu qu'une fois la saga des 3 Adolf mais il me semblait que le tome 1 tenait la route. J'aime bien le petit côté Cary Grant du journaliste.
Après le plaisir de la lecture devient différent. J'ai particulièrement apprécié les gesticulations grotesques de Hitler (fallait oser) et puis cette surenchère dans l'horreur devient presque comique. |
| Dieu, 28.12.2005 à 0:46 | 235845 |
| | | Herbv : | Dieu qu'une grande partie de la SF des années 50 et 60 était mauvaise. Lire Prince Norman nous le rappelle. C'est décousu, ne reculant devant aucune facilité scénaristique, les personnages sont plus que simplistes, les dialogues bidons, l'auteur est toujours aussi misogyne. A cela, vous ajoutez un dessin très daté et on a là ce que je tiens pour être une des plus mauvaises oeuvres de Tezuka que j'ai pu lire (il faut dire que j'en évite pas mal tellement une grande partie de ses titres a très mal vieilli).
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Tezuka, par le grand marteau de Grabthar, je te jure que tu seras vengé! |
| | | | aye, fini le dernier tome, et mon opinion ne change pas. L'histoire des 3 Adolf merite l'Alph-Art de le serie la plus surestimee ! Tezuka y flirte dangereusement avec le gatisme. Je me demande d'ou vient l'indulgence pour cette serie. Peut-etre parce qu'elle fut une des toutes premieres oeuvres de tezuka disponible en francais. 1 adolf |
| phicil, 27.12.2005 à 19:37 | 235821 |
| | | hahahhahah qu'est ce qui faut pas entendre, ça casse dans tout les sens ici |
| Herbv, 27.12.2005 à 19:00 | 235817 |
| | | Dieu qu'une grande partie de la SF des années 50 et 60 était mauvaise. Lire Prince Norman nous le rappelle. C'est décousu, ne reculant devant aucune facilité scénaristique, les personnages sont plus que simplistes, les dialogues bidons, l'auteur est toujours aussi misogyne. A cela, vous ajoutez un dessin très daté et on a là ce que je tiens pour être une des plus mauvaises oeuvres de Tezuka que j'ai pu lire (il faut dire que j'en évite pas mal tellement une grande partie de ses titres a très mal vieilli).
En plus, la version de Cornélius n'a rien de formidable, aucun effort d'adaptation graphique, pourtant simple à faire, n'a été réalisé, l'éditeur préférant se cacher derrière le prétexte habituel et bidon du respect du dessin de l'auteur. Et le respect du lecteur, il y a pensé ? Un beau papier ne suffit pas, je le crains...
Bref, la série se continuera sans moi, il y a bien mieux à lire actuellement. |
| chrisB, 26.12.2005 à 11:03 | 235723 |
| | | Dans mes bras Thierry !!!!!!!!!!!! |
| asacem, 25.12.2005 à 16:01 | 235707 |
| | | Une narration vraiment originale, avec des découpages rares en bande dessinée. Je crois que ça vaut le coup, encore un Tezuka différent... |
| | | | ca ne s'arrange pas vraiment. Tezuka greffe meme un triangle amoureux a cette intrigue qui n'etait plus, il est vrai, a un poncif pres. |
| | | | je n'avais que modewrement accroche en premiere lecture. A la deuxieme lecture, c'est insupportable ! Il est probable que ce titre fut traduit parmi les premiers parce qu'ils offrait des references connues du lectoral europeen (nazisme, personnages occidentaux), mais "l'histoire des 3 adolf" est tres loin de la qualite moyenne de Tezuka. Faible au niveau du dessin, c'est pourtant surtout le scenario qui decoit. Trop de coincidences, trop de rebondissements, trop grosses ficelles, des personnages sans epaisseur avec mention speciale aux personnages feminins particulierement falots.
J'ai l'impression que cette serie a beneficie d'une grande indulgence parce qu'elle fut un des tout premiers Tezuka traduit. 1 sushi |
| | | | ben relecture apres la discussion sur le vilain suiveur de Cornelius qui saute dans le wagon apres tout le monde ;o)
J'avais moderement accroche en premiere lecture. Cefut pratiquement ma premiere prise de contact avec Tezuka, si l'on excepte "le cratere". Franchement, "L'Histoire des 3 Adolf" me semble tres bien place pour le prix de la serie la plus surestimee. Graphiquement, l'ensemble est ranchement faiblard. Compare a Phoenix, il n'y a pas photo. Le graphisme est simpliste et sans personnalite. Quant a l'intrigue, il est evident que Tezuka est un feuilletoniste qui use et abuse des ficelles les plus grosses, mais dans le cas present, le resultat s'avere des plus indigestes. Des McGuffin a ne plus savoir qu'en faire, des personnages a la psychologie ultra-sommaire et une mysoginie plus que certaine. 1 buste de RW |
| THYUIG, 03.12.2005 à 11:34 | 232092 |
| | | [prince_norman1 : album sans vignette]Nonobstant la nostalgie inhérente à cette science fiction des années soixante, ajouté à cela le charme indéniable qui se dégage de cette histoire toute simple d'envahisseurs extra terrestre, ce tezuka reste moins abouti et souvent moins drôle que l'Arbre au soleil par exemple. Par contre l'édition n'a rien à voir avec celle de Tonkam et c'est vraiment agréable de lire du manga de cette qualité, dans un beau papier, avec de beaux noirs.3* donc pour ce premier tome introductif, gageons que les deux tomes suivant sauront faire monter la sauce un peu plus haut. |
| Matrok, 28.11.2005 à 22:41 | 231069 |
| | | lanjingling : |
& ca vaut quoi ? histoire de savoir si l'on peut s'aventurer dans le norman's land ? |
Je ne l'ai pas lu, c'était juste une remarque sur les interrogations orthographiques sur le titre... Mais si l'éditeur de Cornélius a raison lorsqu'il prétend que c'est du même niveau que Phoenix alors évidemment il FAUT le lire !
Mais ceci dit ça m'étonne de lire que les récits + récents de Tezuka seraient auto-parodiques. Il y a beaucoup plus d'auto-parodie amha dans Phénix que dans Ayako... Et ça n'en est pas moins excellent bien sûr ! |
| STom, 28.11.2005 à 21:16 | 231063 |
| | | MR_Claude : |
Il va mieux? :o)
Sinon je crois qu'il y a confusion, Thierry parlait du Prince Norman, qui vient de sortir, et toi de Kirihito. |
Oui il y a plusieurs conversations en parallèles, au temps pour moi j'ai cru que c'était sur le sujet "Kirihito" (vu que c'etait Thierry qui l'avait lui-même lancé)
Pour le "il va mieux" : je crains que non.. (lol)
:)
Cordialement |
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