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Princess Jellyfish Dessin et scénario : Higashimura Akiko Princess Jellyfish, en cours |
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Volume 1 - 2011 | Volume 2 - 2011 | Volume 3 - 2012 | Volume 4 - 2012 | Volume 5 - 2012 | Volume 6 - 2012 | Volume 7 - 2013 | Volume 8 - 2013 | Volume 9 - 2013 | Volume 10 - 2013 | Volume 11 - 2014 | Volume 12 - 2014 | Volume 13 - 2014 | Volume 14 - 2015 | Volume 15 - 2015 | Volume 16 - 2019 | Volume 17 - 2019 |
  Rohagus
| Au vu des couvertures de ce manga, j'hésitais même à emprunter cette série que j'assimilais directement à un shôjo cucul-la-praline. Pourtant, ça n’en est vraiment pas ça, les couvertures sont trompeuses.
A la base, c'est un josei, un manga destiné aux jeunes femmes. Son sujet : les femmes ultra-complexées, repliées sur elles-mêmes et sur leurs passions excessives et souvent loufoques ; unetelle pour les trains, l'autre pour les poupées ou encore l'héroïne sur... les méduses. Celles-ci vivent entre elles dans une résidence dont elles ne sortent qu'à peine et qu'elles appellent leur couvent, formellement interdit aux hommes et aux femmes coquettes. Jusqu'au jour où une superbe jeune femme s'attache à l'héroïne et s'incruste dans la résidence... sauf qu'elle lui avoue bien vite qu'elle n'est pas une femme...
Le ton de cette série est au délire, à l'humour mais aussi aux sentiments. C'est drôle, touchant et assez déjanté.
Les personnages sont tous originaux, très attachants et dotés de psychologies complexes mais réalistes.
L'intrigue est dense et variée. La situation n'est, en outre, pas figée et les choses évoluent plutôt bien de tome en tome.
Le dessin est simple et agréable et la narration parfaitement fluide et claire.
Et ce que j'ai apprécié par dessus tout, c'est que le ton est vraiment adulte, sans jamais être ni niais ni sombre.
C'est une lecture qui fait plaisir et où l'on suit avec le sourire les petites aventures d'une poignée de personnages qu'on apprécie de plus en plus au fil des pages. |
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