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© Futuropolis

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Première partie
ScénarioBrunschwig Luc
DessinLe Roux Étienne
CouleursLe Roux Étienne
Année2006
EditeurFuturopolis
SérieLa mémoire dans les poches, tome 1
autres tomes1 | 2 | 3
Bullenote [détail]

Sidoine et Rosalie Letignal et leur fils Laurent forment ce trio « ordinaire ». Des gens comme tant d’autres, se débattant au quotidien dans une société à laquelle ils essayent d’apporter un peu d’humanité, un peu de leur chaleur, modestement. Or, c’est précisément aux limites et aux contradictions de leur humanité qu’ils vont tous les trois se retrouver confrontés. Absolument rien ni personne ne pourra empêcher l’implosion totale de leur cellule familiale que tout le monde s’imaginait pourtant « indestructible ».

 

1 avis

Coacho
Luc Brunschwig continue son exploration des mœurs de la banlieue française.
Je suis pour le moment perplexe quant à son inspiration pour le Sourire du Clown, tant la vie de cette banlieue me paraît fantasmée.
En revanche, il me semble que nous sommes plus près d’une certaine réalité avec cette première partie de l’histoire d’un homme qui garde sa vie et ses souvenirs sous la forme de papiers divers dans le fond de ses poches.
Le centre de l’histoire est justement celle de Sidoine, le mari de la figure locale qu’est Rosalie, qui se balade avec un très jeune enfant.
Mais le propos ne se limite pas à ça et, pour ceux qui connaissent bien le mode de fonctionnement de Luc Brunschwig, on se rend compte que c’est en fait le théâtre de situations psychologiques clairement définies qui finissent par exploser pour mieux en libérer leur saveur. Le délitement de la famille Létinal est d’ailleurs le support de cette démonstration que le temps et les épreuves finissent par avoir raison de tout, mais de l’amour le plus indéfectible.
Pendant presque 90 pages vraiment très belles et mises parfaitement en image par Etienne Le Roux, on vit au rythme de ce microcosme passionnant.
Parfois, il est vrai que le scénariste se laisse aller à son pêché mignon qu’est l’idéalisme, ou l’humanisme trop prononcé. Ce qui rend quelques scènes un peu trop naïves, et elles perdent ainsi, à mon sens, un peu de leur portée, ou de leur valeur.
De plus, l’orthographe hasardeuse qui parsème l’album n’est vraiment pas engageante, pour e pas dire repoussante.
Ceci étant, j’attends de voir la conclusion de cette histoire qui nous berce d’espoir et on souhaite un happy-end tant les personnages sont attachants.
Globalement bien joué, et un album qui devrait vous plaire.
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