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| Tatsuya continue à jouer les matchs de sélection pour qualifier son équipe au tournoi du Koshien. Lors de l’un d’entre eux, il se retrouve confronté à son rival Yoshida, celui qui lui avait déjà ravi, par le passé, sa place de lanceur. L’heure est désormais venue pour lui de régler ses comptes !
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  herbv
| Après avoir frôlé le désastre avec Minami à cause de l’envahissante Yuka, Tatsuya réussit enfin à se débarrasser de cette dernière. Cependant, les parcs sombres de la ville ne sont pas sûrs et elle se fait agresser par un rôdeur qui poignarde les lycéennes qui passent par là. Heureusement, Sasaki se sacrifie en se jetant sur le couteau, récoltant ainsi une blessure superficielle, et l’agresseur se fait maîtriser par Yuka. Mais ne pensez pas que ces instants soient dramatiques, Mitsuru Adachi, l’auteur, passant rapidement à la suite de son récit, c'est-à-dire à la rencontre avec l’équipe de Sada. Là, un autre type d’agression les attend, perpétrée par un individu qui en veut tout particulièrement à Tatsuya. Cependant, doit-on s’inquiéter pour un type qui fait dorénavant deux cent pompes alors qu’il pensait que ça lui serait impossible lorsqu’il voyait son frère les réaliser. Même si la route est encore longue, Tatsuya semble bien parti pour la victoire finale.
Si la série connaît de temps en temps des hauts et des bas, ce dix-neuvième volume se révèle être d’une bonne qualité même s’il est en grande partie consacré à un match du troisième tour du Koshien. On peut tout particulièrement apprécier la tension dramatique que le mangaka est en train de mettre en place autour de Sasaki et surtout autour de M. Kashiwaba, l’entraîneur. Ainsi, Adachi continue à complexifier son récit et à donner de la densité à ses personnages secondaires. On est loin des fades H2 et Cross Game. Touch se révèle ainsi, petit à petit, comme étant effectivement le chef d’œuvre des romances sportives lycéennes de l’auteur. On regrettera cependant la présence de gros problèmes d’impression sur ce tome avec des noirs pâteux, une spécialité de Glénat, qui sont aggravés par un papier trop translucide et qui laisse apparaître l’encre du verso dans une sorte de halo jaunâtre du plus mauvais effet. Dommage... |
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