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  Cellophane
| Je ne suis pas un grand fan de Tamara.
Là, comme dans les autres volumes, on a nos gags en une ou quelques pages, rarement super drôles, rarement émouvants, rarement quoi que ce soit. Ça déroule, c’est tout.
Et pourtant, à la fin, on a une histoire…
Casting, jalousie, les petits gags… euh… les planches, disons, ont réussi, finalement, à construire quelque chose qui tient la route.
Alors on n’est pas ultra intéressé, on est loin de l’intérêt que peuvent procurer les Nombrils dans les histoires longues, le tout étant abordé en surface et de façon caricaturale mais on a tout de même eu quelque chose…
Chose amusante, je trouve que les dessins paraissent moins précis, avec le temps, plus relâchés, approximatifs… N'est-ce qu'impression ?
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