|
| |
|
|
|
|
  Cellophane
| J’aime assez bien le personnage d’Yvan et j’ai été plutôt content de le suivre. Carré, logique, il se débrouille bien et ses décisions sont cohérentes, rendant l’ensemble plutôt sympa à suivre.
Il y a un côté plus sombre, voire malsain, dans son histoire, ce qui est assez bien rendu dans les scènes, même si, restant une BD jeune public, ça reste tout de même assez soft.
Mais l’ambiance change et le trait de Gazzotti s’accommode bien à l’histoire. Les couleurs rendent, elles, particulièrement bien l’oppression voulue par ce tome.
Cela dit, les brefs passages sur les autres ne sont que des clins d’œil, peu utiles. Ils sont simplement là, histoire de dire qu’ils existent, et toute la trame autour des familles m’est passée au-dessus, tant je ne me souviens plus des enjeux qui m’avaient déjà un peu perdu.
Un tome agréable à lire, toutefois.
|
|
|
|
|
|
| |
| |