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  herbv
| Séki a toujours autant d’imagination pour jouer pendant les cours. Cette fois, il va être pilote d’hélicoptère, vendeuse de confiseries traditionnelles, artiste contemporain, marionnettiste, sculpteur de slime, supporteur, assistant mangaka et bien d’autres choses. Certes, parfois, ses petits jeux se terminent mal, mais il faut reconnaître que généralement, cela fait bien passer le temps. Ces différentes activités seraient bien inoffensives si elles n’entrainaient pas Rumi, sa voisine, sur la voie de l’inattention.
Dans notre chronique du cinquième tome, nous nous demandions si Takuma Morishige, l’auteur, allait réussir à se renouveler. La réponse est malheureusement négative. Certes, le présent opus reste plaisant à lire, les nouveaux jeux que Séki invente sont parfois intéressants, mais l’effet de nouveauté est bel et bien passé. Aucun nouveau personnage, aucun approfondissement des protagonistes ne sont venus enrichir l’histoire, même si un chapitre est consacré à la mère de Séki.
Heureusement, la version française ayant rattrapé la japonaise (le tome 10 est sorti en mars, le onzième est prévu pour novembre), il n’y a plus de risque d’overdose et il suffit d’étaler sa lecture d’un volume sur plusieurs jours pour ne pas risquer d’indigestion. Cela ne nous empêchera pas d’espérer quand même un peu de sang neuf avec la prochaine sortie, ne serait-ce que pour relancer notre enthousiasme ! Au moins, pour l’animé, ils ont su s’arrêter à temps... |
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