|
| |
|
|
|
|
| Goku et Hakkai gisent inconscients sur le sol, terrassés par le démon de Kinkaku, le petit garçon rencontré au marché. Incapables de les réveiller, Sanzo et Gojyo se lancent à la poursuite de l’enfant. De leur côté, Goku et Hakkai se réveillent dans un monde parallèle et se trouvent face à Ginkaku, le frère jumeau de Kinkaku ! |
  herbv
| Alors que l’on s’approche de la fin de la première série, on peut dire que Sanzo, Hakkai, Goku et Gojyo continuent à prendre tout leur temps dans cette quête qui les entraîne vers l’Ouest. Et l’on peut dire que la trame principale de l’aventure ne progresse pas d’un pouce pendant tout ce septième tome de Saiyuki. Après avoir échappé de justesse à un piège mortel dans le volume précédent, nos quatre héros prennent un repos réparateur dans une auberge. Malheureusement pour eux, quoi qu’ils fassent, où qu’ils soient, les ennuis semblent s’abattre sur leur tête. Cette fois-ci, le problème prend la forme d’un gamin muni d’une gourde aux pouvoirs effrayants, celui d’avaler les esprits. Hakkai et Goku sont donc sur le point de mourir, privés de toute conscience alors que l’enfant a disparu. Sanzo et Gojyo vont-ils réussir à sauver leurs deux camarades ?
Si l’histoire n’avance toujours pas (et l’on sait bien qu’il en sera de même avec les deux prochains volumes de la première partie), ce qui pourrait être agaçant, l’entrain qu’y met la mangaka pour nous raconter les mésaventures de ses quatre personnages, leur charisme poseur et l’humour constant des dialogues, font que l’on ne s’ennuie pas un seul instant durant les 200 pages proposées. Ajoutez à cela un dessin des plus agréables et l’on se retrouve avec un shôjo qui n’a pas d’autre prétention de nous distraire comme un shônen de combat pourrait le faire mais sans en avoir tout le côté initiatique qui devient généralement saoulant. Et c’est donc avec une envie retrouvée que l’on attend de lire la suite !
|
|
|
|
|
|
| |
| |