|
| |
|
|
|
|
| Prisonniers sous des mètres de sable, encerclés par des scorpions mortels, Sanzo et sa bande sont en très mauvaise posture. Sans compter que le yokai mangeur de Sanzo a empoisonné ce dernier ! Seront-ils capables d'affronter Kogaiji et sa bande, venus récupérer le sûtra du bonze Sanzo ? Mais surtout, arriveront-ils à survivre à Son Goku, le roi des singes, libéré de son contrôleur de Yokai et bien décidé à massacrer tout le monde ? Cette fois, il faudrait un miracle pour qu'ils s'en sortent… |
  herbv
| Nous avions laissé nos héros en bien mauvaise posture dans le volume précédent, ce sixième épisode de Saiyuki nous plonge donc immédiatement dans le feu de l’action. Sanzo est à l’article de la mort, empoisonné par son ennemi qui n’a pas survécu à ses blessures. L’affaire semble donc très mal engagée, surtout avec l’effondrement du lieu où ils sont enfermés et l’arrivé de Kogaji, leur ennemi juré. Mais comment vont-ils réussir à se sortir de ce très mauvais pas ?
Même si nous ne doutons pas de l’issue favorable des aventures des quatre compagnons, il faut reconnaître qu’à la différence des deux précédents opus, nous ne nous ennuyons pas un seul instant cette fois-ci, le combat principal étant réellement épique. Et les moments de récupération sont agrémentés de l’humour très plaisant de la mangaka. Et je ne parle pas de l’intrigue parallèle qui continue à se développer avec les agissements de Dame Gyokumen et de son âme damnée, le docteur Ni dont Kogaji est la victime. Et je ne parle pas du tome qui se termine sur une scène où seul Goyjo est valide alors que Sanzo, Goku et Hakkai gisent au pied d’un ennemi qui doit être bien puissant. Mais comment vont-ils réussir à se sortir à nouveau de ce très mauvais pas ?
C’est donc avec plaisir que nous retrouvons la série légère et nerveuse qui avait tant plu pendant deux ou trois tomes avant de tomber dans le travers des combats assez ridicules. Certes, il ne s’agit toujours pas de la série du siècle mais, pour l’instant tout du moins, elle est très distrayante et permet de montrer que le shôjo n’est pas que romance pleine de guimauve, de petits oiseaux qui gazouillent et petites fleurs partout.
|
|
|
|
|
|
| |
| |