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  Gillix
| Voilà la fin des (més)aventures de Benjamin Tartouche. Après l'avoir laissé pour mort au bord d'une route (tome 1) et découvrant que son assassin voulait devenir maire (tome 2), les "affaires" reprennent tambour battant lors d'un disours électoral de l'assureur véreux Trusquin.
Bon, je ne vais pas vous gâcher la lecture en vous faisant un résumé, je veux juste vous faire partager tout le plaisir que j'ai eu à suivre les tribulations de Benjamin au fil des ces trois albums.
Chabouté est un dessinateur imaginatif et un magnifique conteur. Toutefois, j'imagine déjà les commentaires que certains laisseront au sujet de la fin de ce cycle. Je vous propose d'en discuter dans le sujet adéquat après votre lecture...
je sais bien que c'est à vous de voire, mais passez pas à côté, c'est tellement bon... |
Coacho
| Et voilà le dernier tome de l’incroyable aventure de Benjamin Tartouche (pas celui des Casinos !) dans l’anti-chambre de la Mort.
Car il n’en voit pas le bout de son purgatoire le Benjamin…
Et pourtant, les dernières révélations lues dans le tome 2 vont trouver leur place dans le déroulement de ce dernier album et conduire à la solution finale qui mettra fin à l’errance de ce pauvre hère.
Cet album se lit comme on écoute « La légende Jimmy » de Souchon et cela deviendra une évidence pour vous après avoir terminé ce joli album à la couverture partiellement vernie qui donne un superbe effet.
Comme à son habitude, Chabouté place ses personnages dans une histoire sombre, légèrement ironique, et nous offre une ambiance enivrante. Jouant sur la couleur de la vie et le noir et blanc de la mort, il créé des peuples dont on ne sait pas lesquels s’ennuient le plus…
C’est beau mais ça se lit rapidement et aurait pu peut-être se dérouler en 2 tomes ?
Prendre le temps de placer un récit dans la durée est intéressant mais peut-être faut-il parfois faire plus léger, c’est ce que j’ai un peu ressenti en lisant cette fin en tout cas…
Quoi qu’il en soit, un dessinateur aussi doué que Chabouté mérite d’être lu et rien que pour le plaisir de voir le fantôme de Gainsbourg se promener dans les pages de cet album, il mérite d’être lu !
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