Toute la petite bande est maintenant au complet au pays imaginaire où le souvenir n’existe pas. Là où le « grand gourmand » (le temps) nous enfonce tous dans l’oubli. La jolie Rose s’éprend de Peter Pan et bien sûr cela fait des jalouses. Pendant ce temps, le capitaine devenu crochet n’a qu’un seul but, retrouver Peter Pan.
Le scénario bien qu’il soit toujours aussi bon commence à manquer de consistance, il ne se passe plus grand-chose et c’est vraiment ce qui est le plus dommage. Loisel nous promène entre Londres où Jack l’éventreur sévit et le pays imaginaire avec d’un coté les pirates et de l’autre la bande à Peter Pan. Bien heureusement, le dessin est toujours d’aussi bonne qualité avec de joli contraste selon l’époque et le temps.
Un scénario qui traîne en longueur, j’attend une fin monotone malheureusement. Cela reste un très bon tome, mais moins bon que les précédents.