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  herbv
| Il y a un peu plus de six mois, nous avions laissé une série qui, quoiqu’amusante, n’en finissait pas de faire du sur place. Nous nous demandions quand l’histoire allait enfin progresser sérieusement vers son épilogue. Otomen 12 nous répond de deux façons différentes. Premièrement, dans les petits propos de l’auteure, nous apprenons que la révélation sur l’identité du père d’Asuka dans ce tome s’explique parce qu’Aya Kanno a décidé d’en finir avec la série. Puis ensuite, tout simplement en augmentant le rythme du récit afin de dénouer au plus vite la principale intrigue : celle du rejet des otomen par la mère d’Asuka. Certes, nous n’en sommes pas encore là mais toutes les bases ont été posées dans le présent opus.
Otomen 12 progresse donc vers sa conclusion, qui plus est ce tome est très amusant avec son histoire de « papatisserie » et ses yakuzas au grand cœur. Deux tomes de qualité de suite, voilà quelque chose qui n’était pas arrivé à la série depuis pas mal de temps. Ceci dit, il ne faut pas s’attendre à un long moment de bonne lecture car seulement cent quarante et quelques pages sont consacrées à la trame principale, un long dernier chapitre sans grand intérêt dédié au « poète du lycée » venant clore l’ouvrage. Cela ne nous empêche pas d’être réconcilié avec un titre qui nous avait été « vendu » comme étant un sommet du shôjo comique. Il ne reste plus qu’à attendre à nouveau entre sept et huit mois pour voir comment tout cela va évoluer. |
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