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  herbv
| Ça y est : le grand moment du concert avec l’orchestre Wiltord arrive. Au programme, Maurice Ravel avec son « Concerto en sol ». Le problème pour Chiaki, c’est que cela arrive trop tôt par rapport à ce qu’il avait prévu ; le problème pour Nodame, c’est que ce soit Rui qui est au piano. Pour cette dernière, c’est une trahison, une douloureuse épreuve, le désespoir, la dépression… À quelque chose malheur est bon : il s’agit de tout ce dont elle a besoin d’endurer pour interpréter correctement le troisième mouvement de la « Sonate pour piano N°5 » de Ludwig Von Beethoven. Et surtout, cela peut être pour elle l’occasion de se rapprocher un peu plus de son amour de chef d’orchestre ! Encore faudra-t-il envoyer des signaux compréhensibles, n’est-ce pas ?
Cette autre crise frappant Nodame redonne un souffle nouveau à l’histoire, où l’humour est assez peu présent. En effet, la série ronronnait parfois un peu trop tranquillement depuis quelques tomes. Heureusement, le vingt-et-unième opus relance le récit à deux volumes de la fin. En effet, il semble préférable de ne pas compter Opera Hen qui est une sorte de prolongation de la série principale ; il est peu vraisemblable que Pika sorte les deux tomes la composant. Et ne parlons pas du chapitre spécial qui est sorti au Japon dans le numéro d’avril 2016 du magazine de prépublication Kiss. Pourtant, c’est là que se trouve la véritable fin que les (rares) fans attendent. Toutefois, ne boudons pas notre plaisir présent et vivement la lecture du tome 22 ! |
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