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  herbv
| Peu d’attente cette fois entre deux volumes de Nekomura-San. Kana nous propose donc le tome 7 un an à peine après le précédent, alors que nous avions dû attendre deux longues années le tome 6, tout comme le tome 5 auparavent. Par contre, il faudra être patient pour lire le prochain opus, celui-ci n’étant pas sorti au Japon. En effet, Yoriko Hoshi, l’auteure, s’est lancé en 2014 dans un autre projet : il s’agit de Aisawa Riku, dont deux tomes sont parus au Japon et qui a remporté en 2015 le Grand Prix culturel Osamu Tezuka. Heureusement, tout ceci n’empêche pas les petites aventures de notre chatte de ménage de continuer à paraitre. De plus, les fans impatients peuvent lire en anglais sur le site du magazine japonais Casa Brutus un « special », c’est-à-dire une petite histoire parallèle au récit principal.
Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à notre chatte. Celle-ci continue à essayer d’exercer au mieux son métier d’employée de ménage à domicile, ce qui n’est pas toujours chose aisée. Nekomura doit réussir à proposer du thé ni trop tôt ni trop tard, protéger sa patronne des chiens, apprendre à réfréner ses instincts félins alors même que Grand-Mère lui conseille le contraire, ne pas s’endormir au travail alors qu’elle a passé une mauvaise nuit, ne pas laisser ses pensées être détournées par le flux des informations de la société de communication moderne, etc. Il en résulte un tome 7 assez décousu qui semble partir dans tous les sens sans s’attarder sur aucun. Il est à craindre que la réponse ne nous soit apportée que dans deux ans (en étant optimiste).
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