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- | P3. Hamlet, [Récit complet] | - | P65. Les bas fonds, [Récit complet] | - | P91. Une maison de poupée, [Récit complet] | - | P141. La ménagerie de verre, [Récit complet] | - | P155. Une histoire de Shuuzenji, [Récit complet] | - | P167. Le procureur général, [Récit complet] | - | P215. Le téléphone, [Récit complet] | - | P239. Alt Heidelberg, [Récit complet] | - | P263. Le malentendu, [Récit complet] | Sur fond de theâtre, vous découvrirez un génie de l'interprétation, doué d'une capacité innée pouvant remplacer au doigt levé n'importe quel acteur, ce mystérieux interprète travaille gratuitement en échange de la liberté de voler les riches spectateur durant les représentations. La police mène l'enquête mais ne sais pas encore à quel animal ingénieux elle a à faire...
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  pikipu
| Dans le même format sympa que l'illustre Black Jack, Nanairo Inko (l'ara aux sept couleurs) est la seconde saga de Tezuka éditée chez le jeune éditeur Asuka.
Voici l'histoire d'un acteur de théâtre capable de remplacer au pied levé n'importe quel acteur défectueux. Sa seule condition ? Avoir le droit de voler les spectateurs. C'est que la véritable profession de notre héros n'est pas comédien, mais bel et bien voleur. Un voleur sacrément doué pour le théâtre.
À l'image de Black Jack, Nanairo Inko est une succession d'histoires (plus développées que dans Black Jack) qui mettent en parallèle la morale ou la spécificité de pièces d'auteurs (Hamlet de Shakespeare, le malentendu de Camus…) entre les planches et la vraie vie. De ce point de vue on appréciera la volonté de Tezuka d'instruire ces lecteurs, de les laisser un peu moins idiots à la fin qu'au début. Tout en les divertissant grandement.
Car comme Black Jack, Nanairo Inko est avant tout un divertissement. Un divertissement où l'humour tient une bonne place, comme souvent chez le maître. Je pense notamment à l'allergie particulière de la jeune inspecteur de police, à cette Tezuka touch qui fait ici souvent mouche. On se croirait devant un épisode du "collège fou fou fou".
Nanairo Inko est donc une bonne lecture de détente. Idéale pour le métro.
Mais sans doute pas "le meilleur d'Osamu Tezuka".
N'en déplaise à l'éditeur.
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