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| Richard Brown avait complétement sombré dans l'alcoolisme après avoir dû quitter la police à la suite d'une grâve erreur lors d'une affaire. Et finalement, il fut également abandonné par sa famille. Ayant recouvré ses esprits, Richard décide de prendre un nouveau départ en devenant détective. |
  pikipu
| Passé, présent et mort de Richard Brown, ce volume est une fois de plus la preuve de l'incomparable talent de conteur d'Urasawa.
Comment réussir à faire avancer le schmilblick sans s'épuiser? Comment réussir à intégrer de nouveaux personnages avec leurs petites histoires et tracas et les révéler au sein d'un même grand tout?
Lisez.
Ce volume est énorme, il fait la jonction de presque tout ce qui avait été amorcé dans les six volumes précédents. On est aspiré par un tourbillon narratif que seul Urasawa maîtrise à ce point.
On pense alors à la deuxième saison de 24. A ses montées d'adrénaline.
Urasawa c'est un cinéaste, un cinéaste de la bande dessinée, un magicien du découpage et de l'inventivité.
Un maître. Incontournable. |
bourle
| Shuwald connaît enfin son véritable fils, mais ce n’est pas ce dernier qui profitera le plus du richissime vieillard. Richard, quant à lui, est toujours poursuivit par son passé. Shuwald lui demande d’arrêter l’enquête, mais c’est sans compter sur sa ténacité, Richard comprendra alors qui est à l’origine de la mort de Fallen, de Margotte Langer,…
Ce septième tome commence à l’image du sixième, il démarre lentement, mais contrairement à ce dernier il finit de manière admirable avec de l’action et de l’intrigue, on prendra par ailleurs plaisir à retrouver des personnages familiers. Urasawa a un talent pour surprendre le lecteur ; le lecteur s’attache à certains protagonistes en quelques tomes. A peine Urasawa nous en apprend sur la vie d’un personnage, Urasawa le fait disparaître de la plus belle des manière :la mort.
Un septième tome qui finit d’une façon fort admirable, avec une fin telle que celle ci, le huitième opus ne peut être que génial.
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