Voilà enfin un volume où la malédiction dont nous parle depuis le début prend tout son sens !
Elle est pour une bonne partie la base de l’histoire et donne son intérêt aux deux précédents opus comme au suivant.
Elle permet, comme dans les autres tomes, de décrire une époque, un style de vie. Et c’est déjà plus prenant.
L’utilisation des Ramones était utile au déplacement pour les Etats-Unis ; mais ça aurait pu être n’importe quoi et c’est un peu trop (d’autant qu’ils n’ont pas écrit de chanson Malediction et ne sont pas à l’origine du slogan « no future ») mais bon, c’est sympa tout de même de les voir dans l’histoire…
Les dessins restent dans la lignée, clairs, simples mais aussi bourrés de petits détails réussis et réalistes qui retranscrivent bien l’ambiance de l’époque.
Reste le lien de parenté final (avec Antonio) qui m’échappe un peu mais... A suivre !