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  Cellophane
| La malédiction est encore vaguement utilisée mais déjà plus que dans le premier tome. Et puis cette histoire est bien plus intéressante que la première.
D’après les remerciements en début d’ouvrage, elle a été plus documentée et, en effet, elle sent le vécu, l’authentique, le réaliste.
C’est donc très intéressant de se plonger dans le monde ouvrier des années 1950, ces baraques, ces gens qui tentent de s’en sortir.
Les dessins de Delaporte m’ont encore plus emporté dans cette décennie et le scénario fonctionne bien, juste et pourtant extrême.
Félix ne recule devant rien, emmène ses personnages au bout – même si je ne suis pas bien sûr d’avoir saisi où il voulait en venir avec la fin de l’histoire (du curé, pas l’épilogue)…
L’histoire raconté en petits morceaux de quelques pages, parfois avec des situations en parallèle, donne du rythme au récit et on ne lâche pas. Très sympa.
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