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© Panini Comics

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The Mystery Play
ScénarioMorrison Grant
DessinMuth Jon J.
EncrageMuth Jon J.
CouleurMuth Jon J.
Année2010
EditeurPanini Comics
CollectionVertigo Graphic Novel
SérieOne-shot !
Bullenote [détail]

- [Couverture], Muth Jon J. (D)
The Mystery Play [Récit complet]

Quand l’acteur qui interprète Satan dans un festival sur la Renaissance, est accusé d’avoir assassiné celui qui jouait le rôle de Dieu, c’est tout un village qui se retrouve au bord de la destruction. Un mystérieux détective tente de résoudre l’énigme pour sauver les habitants d’eux-mêmes, mais la révélation de l’identité du véritable meurtrier pourrait bien conduire le village à sa perte…

 

1 avis

thierry
Il y a les whodunnit, ces romans policiers qui se limitent à cette simple question : « qui l'a fait ? ». Un des exemples les plus célèbres et les plus réussis reste « Les 10 petits nègres » d'Agatha Christie. Grant Morrisson leurre le lecteur en lui faisant miroiter la possibilité d'un whodunnit, alors que « The mystery play » est en réalité un whadefuck.
Peut-être son scénario est-il riche de sens pour lui, mais le pauvre lecteur que je suis en a vite été réduit aux conjectures pour finalement me poser LA question: c'est quoi ce bordel ?
Je ne pense pas être un de ces paresseux de la page que la plus petite ellipse, la plus subtile incursion du symbolisme désarçonnent au point de ne plus rien comprendre à un scénario. Mais pour « The mystery play », j'ai décroché. J'ai même dévissé.
Une petite ville anglaise tente de faire parler d'elle en organisant des représentations de mystères moyenâgeux. Mais l'acteur jouant le rôle de dieu est retrouve assassiné lors de la première représentation. Mystèèèèère. Un policier, du nom de Carpenter (charpentier ? je doute que ce soit le fruit du hasard) est chargé d'élucider ce mystère. Il prône une vision particulière de l'enquête criminelle, selon laquelle la solution ne se trouve pas dans les détails mais dans une vision d'ensemble, qui permet d'appréhender l'entièreté de la scène et le coupable par la même occasion.
Point de départ qui peut se révéler intéressant, mais en fait... entre hallucinations exaltées, discussions simplistes sur le thème de « dieu est mort », scènes absurdes sans intérêts et un coup de théâtre final, pendant la représentation suivante de la pièce, auquel succède un ultime coup de théâtre (le deuxième effet de la pomme d'Adam ? D'abord une feuille de vigne, puis la porte ?) pour conclure sur un « 10 ans plus tard » très whadefuck, je me demande sincèrement ce qu'il y a à comprendre de cette histoire. Sans doute Morrisson voulait mettre en avant la folie d'un homme bousculé dans ses maigres convictions perturbées, cherchant à ordonner le chaos de son esprit par l'entremise d'une construction mentale complexe, mais qui ne parvient qu'à pervertir toujours un peu plus sa perception de la réalité, sur fond de discours ésotéro-nivuniconnujetembrouille. Mais il n'arrive qu'à un foutoir, somme toute joliment illustré par John J Muth, mais cela reste assez mauvais.
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