|
| |
|
|
|
|
| Speed One, une société américaine d'équipement sportif détenue majoritairement par le Groupe W, a dû délocaliser quatre sites de production pour enrayer la chute du cours de ses actions en bourse. Si le bilan financier est remarquable, le bilan humain est lourd : deux mille cinq cents travailleurs licenciés, un directeur mettant fin à ses jours et une comptable assassinée...
Pour la presse, pour l'opinion publique et bien sûr pour la justice, le responsable (le coupable ?) est tout désigné : Largo Winch ! Ce raccourci, dans lequel s'engouffre bille en tête Nigel Knox, un avocat réputé pour la défense des plus démunis, devrait logiquement conduire le jeune milliardaire devant un juge et le contraindre à tout le moins à payer de lourdes indemnités.
Mais Largo Winch n'est pas homme à se laisser faire. Traqué par les forces de l'ordre, il entend bien mener sa propre enquête et démêler l'écheveau tissé par ceux à qui profite vraiment le crime. Une partie de poker a commencé. Si Largo veut y participer, il doit s'en procurer des cartes. S'il veut la gagner, il doit sortir un carré d'as...
|
  alban
| Largo winch 14
Ça ressemble à du Largo, ça a le goût du Largo, et c’est du Largo… Comme d’habitude nous avons eu le droit à un premier tome où Largo sombrait au fond du trou, puis à un second où il revient plus fort que jamais.
Il se sort de toutes les turpitudes tel un héros invulnérable qu’il doit absolument rester pour être conforme à sa légende.
Van Hamme nous gratifie cette fois d’une histoire autour de stock options (qui ont pas mal défrayé la chroniques il y a quelques années en France notamment avec les 40 millions touchés par Philippe Jaffret dans une des affaires ELF), comme d’habitude nous avons le droit à quelques invraisemblance et à la mise à jour de failles énormes dans l’organisation du groupe Winch mais tout cela est finalement peu important et notre héros s’en sortira avec honneur. J’avais préféré le cycle ‘OPA’, il y a quelques années qui vulgarisait avec une meilleure démonstration ce mécanisme financier.
Au bout de 14 volumes, comme vous l’aurez certainement perçu, j’attendais certainement plus de changements de cette série qui tourne un peu en rond. Certes quelques personnages secondaires sont amenés à disparaître et d’autres à prendre plus d’importance mais la personnalité de Largo n’évolue presque plus et nous n’apprenons par grand chose de neuf.
Une note de 2,5/5 pour le divertissement mais sans plus.
|
|
|
|
|
|
| |
| |