| Le bateau laissé en quarantaine, dans lequel croupit Siméon, finit par accoster sur une petite île au large d'Istambul. En attente de visas, les Russes réorganisent une micro-société sur une île infestée par les cafards.
Epié par le contre-espionnage, Siméon se déguise en Turc, mais se fait tout de même attraper par Liverovski, la veille d'obtenir son visa ! Le message est clair : soit Siméon assassine Burstein, soit il est balancé aux forces alliées. Mais il rate son coup et se fait rosser par la police du contre-espionnage. Laissé pour mort dans la forêt, sans un sou, on le retrouve mendiant dans les bas quartiers d'Istambul, réduit à faire les poubelles, lui, le comte Nevzorov ! Et voilà qu'il vire maquereau...
« Tu n'es qu'un cafard, mais tu es sous le signe d'Ibicus, le crâne qui parle... » lui avait dit la tsigane. Et comme par hasard, ce sont les cafards qui vont lui sauver la vie. |