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| L’heure tant attendue du premier duel a enfi n sonné ! Réunis dans la demeure de maître Kanzaki, Shizuku et son rival Issei doivent dévoiler le vin qu’ils ont choisi, conformément à la description qui a été faite du premier des « douze apôtres ». On découvrira également les raisons qui ont fait de Chosuke un fervent amoureux du vin italien, au détriment du vin français, à travers son histoire d’amour contrarié. Avec, comme à chaque volume, de grands vins toujours aussi magistralement décrits !
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  herbv
| La première véritable confrontation entre Shizuku et son demi-frère, Tomine, va avoir enfin lieu : le temps est venu de désigner le premier apôtre. Il s’agit du premier échelon de l’échelle qui mènera aux Gouttes de Dieu, le meilleur des vins. Il faut non seulement déterminer le nom du grand cru mais aussi son millésime, aucune approximation n’est donc permise. Une fois la victoire acquise pour l’un ou l’autre des deux prétendants à l’héritage de Yutaka Kanzaki, il s’agit de partir à la recherche du second apôtre. Mais avant cela, Shizuku, toujours assisté de Miyabi, va avoir à relever un autre défi. Celui-là va être d’autant plus difficile à relever qu’une rivalité amoureuse va se mêler à l’ego. Il est donc obligatoire pour notre jeune héros de trouver des vins supérieurs aux cinq plus grands châteaux de Bordeaux.
Avec ce sixième tome, Les Gouttes de Dieu passe un premier palier. À ce rythme, la série est partie pour durer longtemps, très longtemps. Néanmoins, ne boudons pas notre plaisir car la lecture de cet opus est aussi agréable que les précédentes. Certes, une certaine routine semble devoir s’installer dans le récit qui ne propose aucune évolution notable dans le dessin ou la narration. On peut apprécier que les auteurs aient profité de la longueur prévisible du manga pour commencer à développer les personnages secondaires. Alors qu’on pouvait s’attendre à ce que Miyabi soit la première à en bénéficier, c’est Chosuke Honma, le collègue fan de vins italiens, qui a cet honneur. Cependant, il ne s’agit que d’une petite touche subtile qui permet de mieux apprécier l’histoire tout comme un bon vin. |
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