Ca part plutôt d'une bonne idée (les personnages vivent des aventures dans un monde virtuel), mais comme de plus en plus souvent, Morvan déçoit. Les dessins, dans un style proche des autres dessinateurs qu'il a pu s'adjoindre dernièrement (Porcel, Parel, Lejeune...) laissent à désirer.
Comme de plus en plus souvent dans les séries à suite, le tome 1 avance très peu et nous laisse sur notre faim à la page 48. Donc difficile de se prononcer vraiment sans connaître la suite.
Morvan retombe dans ce travers d'aborder des problèmes d'actualité (le conflit israelo-palestinien, le capitalisme...) de manière très cliché, en manquant de finesse d'analyse, de véritable puissance dénonciatrice.
En fait tout est un peu cliché dans cette histoire.