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  Cellophane
| Je suis passé par trois phases.
D'abord, j'ai retrouvé avec plaisir ces personnages amusants et dynamiques dans les dessins excellents de Barbucci, toujours pleins d’inventivité et de détails.
Ensuite, je me suis demandé ce qui se passait. Les dernières cases du tome précédent étaient suffisamment marquantes pour influer sur l’histoire. Pourtant, rien, pas un mot ! Et le pouvoir de Fourmille, alors ? Elle a beau se déguiser en Sherlock, ça n’a aucun rapport avec la base habituelle… Et puis son boulot ? Elle n’a plus de boulot ? Du coup, on est dans l’histoire mais sans y être totalement.
Enfin, je me suis laissé aller et j’ai tout de même pris plaisir à suivre cette histoire (un poil tordue mais qui se tient…)
Allez... Si l'on accepte que ça prenne un tournant où le pouvoir ne sert à rien et où les rapports passés n’ont aucun intérêt, c’est un bon album. |
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