Bon, et si Durandur avait fait le tour ?
Fan du premier tome, noir, révoltant, secouant, j’ai continué avec le second qui ne manquait pas de qualités.
Ce troisième tome commence à être quelque peu redondant et le risque de surenchère existe bel et bien.
La première histoire en est un exemple flagrant. Quelle ignominie !
Cela étant, j’approuve le côté provocateur et hyper trash du contenu même bon sang que c’est ignoble ! Le reste devient presque… anecdotique ! Et touche à la fable presque !
Le seppuku entrecoupé de pubs prend un certain sens finalement !
A noter que Durandur a dû recevoir un grand nombre de courriers outrés et il s’en moque ouvertement. Chaque histoire est maintenant conclue par l’intervention dessinée de l’auteur qui vient moraliser le tout et demander un peu de méditation à chaque personnage !
Mais bon, à part ça ? Et bien… Comme d’habitude… Dur, sale, mais je reste sur mon idée première : ne touchons-nous pas le bout de la démarche ?