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  herbv
| Sanko Zaha a un gros problème : tout le monde veut sa peau, ou plus exactement ses os, ceux-ci sont réputés pouvoir exaucer n'importe quel vœu. Tous les malfaisants de l'univers (et ils sont nombreux) sont prêts à tout pour le tuer. Heureusement pour lui, il est accompagné d'Avakian, un sakadoh des ténèbres...
Voilà donc la nouvelle série de Q-Hayashida, dont la formidable série Dorohedoro s'est achevée chez nous en 2019 (et une année auparavant au Japon). Elle a rempilé dans le Monthly Shônen Sunday (connu aussi sous le nom de Gessan) et, depuis, a publié quatre tomes de Dai Dark, la série étant toujours en cours.
Après la lecture des six premiers chapitres, il est difficile de voir où veut en venir l'autrice. Les bases sont vraiment mal posées et les enjeux sont mal définis : nous avons droit à une vague histoire de vengeance à laquelle il est impossible de croire et encore moins de s'intéresser. Le récit est réellement poussif en plus d'être embrouillé.
Certes, nous retrouvons avec un grand plaisir le dessin si caractéristique de la mangaka mais cela ne suffit clairement pas. Les personnages, à la différence de ceux de Dorohedoro ne sont ni intéressants ni attachants. De plus, leur comportement censé apporter une note comique ne fait même pas sourire. Bref, pour l'instant, tout ceci est plus que moyen... |
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