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  herbv
| Disons le tout de suite, ce volume 7 n’est pas à la hauteur de son prédécesseur.
La premier histoire nous propose un combat dans la décharge où vit Gôkun qui se déroule entre deux équipes formées d’écoliers de Susuki, l’une étant menée par Kurochan, l’autre par Mîkun. Elle est totalement déjantée et dans la droite ligne de celles qu’on a pu lire dans le précédent opus, mais c’est vraiment la seule, les quatres autres histoires étant nettement moins réussies. C’est le cas de celle où l’on voit le retour des chats cyborg qui veulent repartir à la conquête du monde avec Gôkun. Ensuite, celle où Nana-chan travaille pour gagner de l’argent afin de pouvoir offrir un cadeau à son amoureux, Kurochan en l’occurrence, renoue avec les situations loufoques et réussit même à nous faire avoir un petit pincement de cœur pour la pauvre Nana-chan qui connaît échec sur échec. On continue sur une histoire qui aura du mal à passionner le lecteur, avec Matatabi en personnage principal. Elle n’est pas très marrante même si elle se conclue par une belle scène de destruction. On doit dire que ça commençait à manquer. Et ce n’est pas avec le dernier chapitre qui nous narre les mésaventures de Kurochan atteint par une maladie qui ne peut que lui être fatale. Ses amis arriveront-ils à le sauver ? Sans grand humour, très brouillonne, on n’arrive pas un seul instant à accrocher à ce problème de virus de l’an 2000. |
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