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| Toujours en quête de réponses, Tôma continue de chercher Ryo. Sa quête devra forcement passer par le banryu-kaï et son karaté, cet art martial qui fit de Ryo ce qu’il est aujourd’hui. Pourtant, ce qui a convenu à l’un ne conviendra peut-être pas à l’autre… D’autant que les sentiments s’en mêlent avec le retour de sa petite amie, qui ne veut pas croire que Tôma puisse arrêter la danse. |
  herbv
| Le changement de direction de la série amorcé avec le volume précédent se confirme dans Coq de Combat 18. C’est ainsi que nous pouvons suivre pendant 11 nouveaux chapitres les débuts chaotiques de Tôma Takahara, l’ancien génial danseur, fasciné par la personne de Ryô Narushima. A la différence de ce dernier, Tôma se révèle incapable de frapper son adversaire, ce qui est un handicap certain dans le karaté. Il va donc se mettre au judo où il va immédiatement montrer de grandes aptitudes d’assimilation des techniques. Manifestement, il n’y a pas qu’en danse qu’il est un génie. Izo Hashimoto et Akio Tanaka, les auteurs, en profitent pour nous apporter un certain nombre d’informations sur le passé de Ryô. Certes, elles ne sont pas fondamentales mais cela donne un peu d’épaisseur aux personnages, notamment ceux qui sont secondaires et permet de garder un peu le fil de l’histoire principale.
Il n’y a pas grand-chose de plus à ajouter sur ce volume, les fans d’arts martiaux apprécieront, les autres ont de toute façon abandonné vu le peu de profondeur de la série depuis longtemps. Reste aussi une petite frange de lecteur qui reste fascinée par la qualité graphique de Coq de Combat et par sa narration toujours aussi efficace. Ceux-là passeront rapidement sur les exagérations et les invraisemblances de nombreuses situations rencontrées au fil des pages, seront indulgent devant le panégyrique fait aux arts martiaux, notamment grâce à de superbes scènes de combats pour se contenter d’apprécier ces dernières. Et il faut reconnaître qu’on peut être curieux sur l’évolution de l’histoire et vouloir voir où veulent nous emmener les auteurs, en espérant qu’eux-mêmes le sachent. |
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