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| 2047. Au cours d’une soirée mondaine, Carmen exécute un mystérieux invité qu’elle semble connaître depuis longtemps. Sept ans plus tôt, à Londres, les chefs de l’IRA recomposée s’apprêtent à signer un accord de paix après onze années de guerre. Une cellule irlandaise refuse pourtant de déposer les armes. Carmen, alors âgée de 20 ans, est l’un de ses membres. |
  Coacho
| Bon, ben… C’est en lisant ça et là des avis positifs sur cet album que je me suis laissé convaincre… Pourtant, la lente déliquescence de la série mère m’avait grandement refroidi sur le personnage de Carmen.
Mais bon, l’idée d’un dérivé qui se verrait comme un bon divertissement en mangeant des fraises Tagada avait mûri et je m’attendais donc à rentrer dans une aventure menée tambour battant. Et je m’étais trompé… ou plutôt je ne m’étais pas trompé !
Encore un énième tome 1 de mise en place qui dure et dure encore, sous le prétexte de camper des personnages à grands coups de blablabla, au lieu de faire confiance au lecteur qui peut cerner un peu mieux qu’il ne paraît leur psychologie.
Et puis on est dans l’Ira, une activité presque didactique et « fun » qui pourrait voir certaines vocations se former si les lecteurs se laissaient envoûter… Ironiquement, je souligne le fait qu’il y a une forme d’apologie de l’Ira, organisation malheureusement respectée et meurtrière, et tout ça me gène un peu.
Carmen est mignonne, se laisse aller à la prise de quelques psychotropes, mais j’espère ne pas avoir à attendre 8 tomes pour comprendre ce qui l’a rendue si froide et distante.
C’est pourquoi je reste clément, en souvenir des bons moments que nous avons passés elle et moi, et que je lui laisse le bénéfice du doute et un album pour me convaincre !
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