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  herbv
| Le fantasque Yukishima a réussi à devenir un laveur de carreaux passable grâce à la patiente de Mitsu. De plus, celui-ci prend de l’importance au sein du syndicat en devenant le superviseur de l’équipe de nettoyage des vitres du niveau intermédiaire à la place de Monsieur Jin, malade. Malheureusement, cela semble déplaire à certains anciens qui ne supportent pas de se retrouver sous les ordres d’un petit jeune. Cependant, dans un milieu aussi dangereux que l’espace, la sécurité dépend beaucoup de la cohésion des équipes d’intervention et l’accident irréparable survient souvent à la première erreur. Cela peut être un simple outil lâché par inadvertance ou se retrouver seul pour terminer un travail mal fait.
Dans le cinquième tome de La Cité Saturne, Hisae Iwaoka, l’auteure, continue de développer son récit en approfondissant la psychologie de plusieurs de ses personnages, notamment Tamachi et Makoto. Ainsi, il nous est plus facile de comprendre certains comportements, ce qui donne plus de profondeur à l’histoire. Par contre, aucune réelle nouvelle information sur le système politique et économique mis en place pour faire fonctionner en vase clôt la petite société humaine de l’anneau ou sur le passé de la Terre ne vient enrichir l’univers mis en place par la mangaka, ce que l’on ne peut que regretter. Néanmoins, rien n’interdit de penser que le prochain tome puisse aller dans ce sens car les problèmes logistiques de la construction de la navette spatiale commencent à être abordés.
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