|
| |
|
|
|
|
| Alors que s’est résolue l’énigme des origines du «Concept», un nouveau cycle de péripéties débute pour Capricorne qui s’interroge sur lui-même... Quelque part en Europe, l’astrologue a maintenant entamé son long voyage de retour vers New York. A la recherche d’un abri pour la nuit, il a atterri dans un petit hameau en pleine campagne. L’endroit a l’air paisible, mais il y est néanmoins accueilli par des coups de feu tirés par un vieux fermier obsédé par le péril jaune et qui se croit assiégé par des Chinois !
|
  alban
| Album de transition à tous les égards, tout d’abord graphiquement … Ceux qui aiment bien l’originalité du dessin hachuré d’Andréas vont être déçus nous avons certes le droit à quelques petits passages mais bien trop peu à mon goût. On reconnaît néanmoins, la patte du maître au détour de certaines cases, il est toujours le seul à pouvoir nous distiller des lucarnes en forme de triangle par exemple ou ces vues vertigineuses comme cette pièce que vous découvrirez en vue plongeante et qui semble mesurer des mètres et des mètres …
Ensuite transition au niveau du scénario, alors que le cycle du ‘Concept’ est terminé, Capricorne entame tranquillement le chemin de son retour … Cet album se lit comme un one-shot complètement indépendant et avec un scénario relativement ‘simple’ par rapport à ce que réalise d’habitude Andréas … L’action se situe dans un petit village et nous avons droit à un huit clos presque étouffant et qui a finit par faire disjoncter une famille.
Certes c’est efficace, l’histoire est en béton armé … mais mais ce n’est plus vraiment du Andreas tel que ses lecteurs habituels aime tant. Je ne peux me résoudre quand même à mettre une mauvaise note car cela reste un très bon album mais qui conviendra certainement mieux à quelqu’un qui ne lit pas Andreas régulièrement … |
|
|
|
|
|
| |
| |