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Quand la pire des tragédies arrive...
Défait par Bhorcys, Lygatt, entre les griffes de l’ennemi, n'est plus rien qu'un prisonnier de guerre, une vie sans la moindre valeur. L'intervention in extremis de Narvi et de ses hommes lui permet d'échapper à une mort certaine... mais l'atroce course-poursuite qui s'engage alors pourrait bien couper court à ce semblant de répit.
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herbv
| Alors que Lygatt se trouve en très fâcheuse posture, immobilisé au sol par un groupe de golems ennemis alors qu’il est pratiquement à court d’énergie, le petit commando de secours dirigé par Narvi réussit à lui donner le petit coup de main qui lui permet d’échapper à la mort et surtout à la perte du Delphing. Cependant, nul n’est encore sauvé tant les forces de la Fédération d’Atnès sont nombreuses dans cette partie du royaume de Kreeshna. Alors qu’une course poursuite s’engage, les renforts des deux camps convergent vers le lieu d’affrontement.
Voilà un tome tout de bruits et de fureurs tant les combats sont nombreux et cruels. Le comportement psychotique de Gilg y tient d’ailleurs une place particulièrement importante et on ne peut s’empêcher de penser que l’auteur en fait un peu trop dans la surenchère et qu’il dramatise un peu artificiellement son récit. Pourtant, il faut reconnaître que cela fonctionne plutôt bien et que l’on se retrouve happé par l’action, oubliant tout esprit critique envers l’emphase et le manque de réalisme des confrontations entre golems.
Les invraisemblances sont pourtant de plus en plus nombreuses, surtout quand elles concernent les déplacements et les mouvements des combattants, sans parler de ce qui semble être une capacité de récupération et de régénération qui devrait être inaccessible à des machines. En effet, Gilg semble combattre avec un golem intact alors qu’il a subi plusieurs assauts particulièrement rudes et qu’il a perdu plusieurs armes et son bouclier. Il ne reste plus qu’à attendre le prochain volume pour voir jusqu’où le mangaka va oser aller...
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