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| - | P3. Le fils déshérité, [Récit complet] | | - | P25. Tout le monde rétrécit !, [Récit complet] | | - | P49. Les dingos, [Récit complet] | | - | P73. C'est votre faute !, [Récit complet] | | - | P95. Le rouge-gorge et le garçon, [Récit complet] | | - | P117. L'enfant venu du ciel, [Récit complet] | | - | P137. Black Jack hospitalisé, [Récit complet] | | - | P157. Une femme, [Récit complet] | | - | P177. Les deux médecins en noir, [Récit complet] | | - | P195. Les internes, [Récit complet] | | - | P217. Une vieille femme se souvient, [Récit complet] | | - | P237. Pinoko amoureuse, [Récit complet] | | - | P257. Opiniâtreté, [Récit complet] | | - | P279. Relation singulière, [Récit complet] | | - | P299. Le bébé de la consigne automatique, [Récit complet] |
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pikipu
| Volume 3 sans grande surprise.
Les histoires se suivent et se ressemblent. De qualité inégale, elles ont le mérite de présenter un Black Jack plus consistant, et nous permettent de cerner un peu mieux –je dis bien un peu- le personnage.
Black Jack n’est pas que le médecin marron amateur de gros sous que l’on aime à écrire. Il n’est surtout pas infaillible. Il ne suffit donc plus de lui mettre un gros magot entre les mains pour que son bistouri fasse des miracles. Les hommes ici meurent et Black Jack n’est pas leur dieu. Il n’est après tout qu’un homme, et certaines de ses larmes, certaines de ses expressions, certains propos le rendent au final très sympathique.
La petite forme de certaines histoires finissent malheureusement trop souvent à la manière d’une rédaction de jeune collégien peu inspiré du type « ce fut une belle journée », et certains thèmes, bien que nobles, par la brièveté du récit en caricature l’impact et en dévalorise le propos. Ce qui est fort dommage.
Un grand plus dans ce tome, c’est l’ajout d’Asuka de certaines données chronologiques, bibliographiques et biographiques. Ce qui est le propre d’un bon éditeur, respectueux d’une œuvre et de son public.
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