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| Atori est une jeune fille hybride mi-humaine, mi-démon. Elle n'a aucun souvenir de son enfance, et en garde une grande souffrance. Heureusement, elle s'est fait de nombreux amis tant humains que surnaturels, et grâce à eux, elle réussit tant bien que mal à surmonter sa cruelle destinée.
De grands troubles ébranlent le monde des démons et, alors qu'elle avait oublié jusqu'à son visage, Atori revoit enfin sa mère, bien que ce ne soit qu’un très bref instant. Elle apprend également que c'est son propre frère qui est la cause de ce chaos, même s'il semble clair que quelqu'un tire les ficelles dans l'ombre. Les masques commencent à tomber, et pour Atori, l'heure du combat final n'est plus très loin... |
  herbv
| Le temps de la confrontation finale est arrivé. Atori est enfin face à son ennemi juré, son frère Tobari, le démon à l’origine des troubles qui frappent le monde. En effet, ce dernier veut s’emparer du trône du Tenshu. Pourtant, lors du combat, le véritable responsable de cette situation apparaît enfin au grand jour. L’opposition entre les forces qui soutiennent Atori et celles qui sont sous la domination de Suiko, le troisième vénérable sage qui avait disparu depuis longtemps pour prendre possession de Tobari, ne peut donc déboucher que sur une victoire totale. Mais à quel prix ?
Avec son septième volume, la série Atori trouve sa conclusion. Comme il fallait le prévoir étant donné l’évolution de l’histoire depuis de nombreux chapitres, les combats continuent à remplacer l’humour et la romance. Au moins, les scènes d’action sont efficaces et ne s’éternisent pas à outrance, donnant un bon rythme de lecture. La nudité, féminine évidemment, refait son apparition donnant ainsi une certaine ressemblance avec le premier tome. La boucle est bouclée, comme on dit.
Titre définitivement mineur dans la collection manga des éditions Doki-Doki, Atori n’en est pas moins dépourvu de certaines qualités, notamment sur le plan des combats et des personnages plutôt bien variés. Dommage que certains d’entre eux n’aient pas été très bien exploités. Mais on ne peut que remercier l’auteur, Tashiro Takuya, de ne pas avoir cherché à diluer son récit. Dommage que le dessin soit resté si limité même s’il a l’avantage de ne pas être passe-partout. Il en ressort ainsi une série que les amateurs du genre devraient apprécier...
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