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  frads
| Avec cet album, on se rend compte que John Difool est de retour pour de nouvelles aventures – manque de pot pour lui.
Côté dialogues, Jodorowski continue dans la lignée des précédents Incal avec, au programme, de la SF, de l’humour, un peu d’amour, un peu de « bastons », bref, tout ce qui fait la saveur de la série pour les fans, et l‘horreur pour les anti-incals (en effet, certains peuvent trouver que quelques éléments sont contradictoires).
Pour les graphismes, il y a quand même beaucoup d’ordinateur là dedans et, malgré des figures parfois trop caricaturales, ça donne bien. Mais on peut faire confiance à Moebius.
Dans l’ensemble, on a un album qui, au niveau de la maturité, contraste violemment avec les premiers.
Bien, bien... |
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