|
| |
|
|
|
|
  pikipu
| Il joue avec nos nerfs, c'est certain, et la boite d'édition avec notre argent, je commence à le croire.
Pourquoi ce manga qui ne jouit d'aucune qualité d'édition supérieure à celle d'autres séries est-il aussi cher? Est-ce la couverture en papier glacé qui justifie un montant de 8,99 euros pour chaque volume? Est-ce par ce qu'ils sont sûrs de notre accoutumance et donc certains de nos dépenses? Est-ce Ami qui gère tout ceci? Que veut-il faire de notre argent?
Ca y est j'en rêve, c'est foutu.
Ce tome n'est pourtant pas le meilleur. Urasawa nous fait encore le coup du je vais vous le dire, mais pas tout de suite en fait. On y est presque, mais pas tout à fait. Et, même frustré, on fera avec.
L'idée du parc d'attraction-centre de rééducation est très bonne, ça change un peu de Disneyland ou de la résidence de Mickael Jackson. Il y a un peu de Sos Bonheur là-dedans avec ces activités obligées et ce manque total de liberté.
Toutefois tout ceci va un peu vite et perd donc de sa force, je pense notamment à la rencontre du vieil homme et de Kyoko, de cette façon d'expliquer en survol parce qu'il faut bien expliquer un peu, mais pas trop toujours, pour rassurer le lecteur et rendre le tout plus cohérent.
Mais les dernières pages, celles qui permettent à Kyoko de rencontrer la bande à Kenji grâce au jeu virtuel nous remet totalement dans l'état d'excitation pour lequel on aime cette série. On tourne la dernière page une dizaine de fois pour être sûr que la page suivante ne s'est pas collée à celle-ci. Mais non.
Décidemment Urasawa sait jouer de notre dépendance.
|
|
|
|
|
|
| |
| |