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  pikipu
| Nous voilà en 2014, ne me demandez pas ce qu'il s'est passé le 31 décembre 2000, je n'en sais encore rien.
Le monde est toujours là pourtant, quatorze ans après ce que l'on appelle aujourd'hui le nouvel an sanglant.
Ami est présent plus que jamais, la société corrompue et policée qui apparaissait dans les premiers tomes semblent s'être généralisée à présent, tout du moins au Japon. Ce n'est peut-être qu'un début...
On découvre dans ce tome 6 de nouveaux personnages, de nouvelles intrigues. Urasawa les distille avec parcimonie toujours, se délectant à nouveau de nous faire languir.
Evidemment on continue de se laisser prendre au jeu. Parce qu'on aime ça, parce que Kanna est belle. Parce que ce numéro 3 me dit quelque chose. Non, c'est lui?
Parce que ce tome 6, surtout, a des saveurs de grande évasion.
Des murs comme de l'esprit. |
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